Pas grand chose ... juste de moi et de vous
mes poésies, mes musiques ... un peu de moi
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Il y a bien longtemps, un temps si lointain que peu de monde s’en souvient, vivaient de solides gaillards, de vrais hommes qui n’avaient peur de rien et pour qui les valeurs de la vie voulaient encore dire quelque chose.
Le sens du devoir, le goà»t de la liberté, l’aventure, mais aussi le grand amour, régentaient la vie de ces hommes dont, nous avons oublié l’existence dans notre époque o๠l’égoà¯sme et la bêtise domine la société.
Parmi, ces braves, il y en avait un qui s’appelait, Nicolas d’Agénador, capitaine d’un vaisseau du nom de la « chaine brisée ». Ce marin, ami de Surcouf, était lui aussi un aventurier au grand cÅ“ur. Contrairement au capitaine malouin, il ne possédait pas de lettre de course et n’était donc pas reconnu comme corsaire.
Agénador issu d’une noble famille Bretonne, avait du s’enfuir du royaume de France après s’être fourvoyé pour les beaux yeux d’une princesse. Il avait commis beaucoup d’erreurs dans sa vie et était devenu un banni, un paria ….
Depuis il sillonnait la mer et combattait l’Anglais, prêtant dans l’ombre, sa force, à ses amis… Sa devise étant, d’aider les pauvres et de lutter pour la liberté, si bien incarnée par le symbole de la chaine brisée qu’arborait son petit mais solide vaisseau. De ces butins, il ne gardait que le minimum, son équipage servi à sa juste valeur, les pauvres se voyaient remettre le reste.
Drà´le de capitaine, cet Agénador, prêt à donner sa vie pour la justice et pour le bien de autres, mais ainsi était sa vie, faites de calme plat et de tempêtes. Son cÅ“ur le perdra un jour, disaient son équipage et ses amis, mais lui n’en avait que faire, il pensait toujours et son cÅ“ur battant uniquement pour celle qui avait perdu ….
Une nuit noire sans étoiles était tombée, une légère brise faisait claquer les voiles. « Le chaine brisée », naviguait tant bien que mal. L’équipage étant fatigué par le piège tendu par les Anglais, le salut du navire ne tenait que grà¢ce au brouillard qui durait et cachait la vue de celui aux cannons ennemis.
La dureté du métier devait se dire la capitaine, la fin d’un cache-cache était proche. Les vivres et l’eau manquaient, l’avenir se faisait sombre car en temps de guerre, il n’y aurait pas de pitié pour ces hommes. N’étant pas considéré comme des prisonniers de guerre, la corde de la potence semblait leur seule destinée ….
Agénador se tenait à la barre, deux ou trois matelots effectuant le quart, hissant les voiles à la demande de leur capitaine. Emmitouflé dans une vielle gabardine, il cherchait comment faire pour sauver la face, sauver ces gars qui lui avaient tellement fait confiance par le passé… La solution venant peut être dans son ultime redissions sans combat en échange d’une vie sauve pour les autres !
Plus d’autre espoir, donner sa vie simplement en échange d’une promesse, sans illusion, il jeta ce soir là un dernier regard à la mer et vit alors une étrange vague blanche submergé le pont. Pas le temps d’esquisser une dernière manÅ“uvre, trop tard !
Ayant peu à peu reprit ses esprits, Nicolas, fit le constat des dégà¢ts. Ouf, personne n’était passé par-dessus bord, seul le restant de poudre avait pris l’eau. Pas de chance, mais finalement de toute façon, il n’en avait plus besoin vu les circonstances à venir…
C’est alors que son regard fut attiré, près de la barre par un étrange objet qui brillait de mille feux. Le capitaine s’approcha et prit dans ses mains, une petite étoile de mer. Un léger sourire sur son visage, ses yeux bleus furent illuminés d’une lueur.
Ce petit animal ancestral, sans squelette, pas plus grand que sa main était si beau et si fragile. La lumière qu’il dégageait envouta l’homme au cÅ“ur de pierre.
Agénador resta dix bonnes minutes comme figé, sans réaction. Il aurait alors été plus facile pour lui de ne pas y prêter attention et de bouter hors du bateau cet intrus.
Nicolas se pencha alors dangereusement au dessus de l’océan et déposa délicatement le petit échinoderme dans l’eau … à ce moment la un éclair déchira l’obscurité et un coup de tonner se fit entendre.
Un nouveau moment de silence envahit le vaisseau et le nuit. Agénador reprit son souffle et leva alors les yeux vers l’immensité de l’obscurité … une étoile brillait.
La chair de poule lui parcouru alors le corps à la vue de cette étoile qui se déplaçait doucement … qui ne tente rien, n’a rien, le capitaine décida alors de la suivre jusqu’au bout de la nuit.
Quand l’aube fit place au jour et que l’aurore du soleil envahit le pont, « le chaine brisée » avait trouvé comme par miracle, son chemin au milieu de l’armada Anglaise et filait toutes voiles tendues vers sa chère Bretagne et vers la liberté …
Nicolas Agénador avait retrouvé l’espoir, celui de croire en ses valeurs, celui de pouvoir offrir à son équipage le droit de regagner leur terre et de retrouver leur famille … et ceci grà¢ce à une petite étoile, celle de la vie !
Il y a une bonne trentaine d’année, j’étais loin de ma Bretagne, ayant suivi mon père basé à la basse sous marine de la Rochelle. Je parcourais régulièrement la cote et les plages de cette belle région charentaise.
Un jour alors que le temps était couvert, et la chaleur pesante, je fus intrigué par une petite chose brillante.
M’approchant des rochers, je découvris alors un petit animal à cinq branches, une étoile de mer qui se mourrait hors de l’eau.
Mon sang ne fit qu’un tour, l’à¢me écologiste ou de sauveteur sans doute, je décidais donc de prendre celle-ci dans mes mains. Elle était magnifique, j’ai du rester un petit moment à l’observer et puis alors je me suis décidé de la remettre dans son élément naturel.
M’avançant dans les vagues, alors que je la déposai doucement, je ne me rappel plus, mais un coup de toner et un éclair incroyable m’immobilisà¢t. L’eau arrivant à hauteur de mes épaules, je réussi à regagner le rivage…
Plus tard dans ma vie, alors que j’étais perdu quelque part dans un sale coin de ce monde. Me rappelant l’aventure de mon ancêtre Agénador, j’ai décidé de suivre une étoile qui brillait dans la nuit, grà¢ce à elle, j’ai retrouvé moi aussi mon chemin et l’espoir.
Cette étoile, je l’appel l’étoile de la vie, … un jour alors que je parlais à un petit garçon, je lui ai indiqué o๠elle se trouvait dans la grandeur de l’immensité de l’univers, ainsi que ses secrets.
N’ayant pas de descendant, cette étoile est à lui maintenant, je lui ai donnée. Elle veillera toujours sur lui et sa famille, elle le protégera des méandres de la vie. Un jour, alors qu’il sera grand, il fera le bonheur des siens, et s’il a besoin, il retrouvera toujours son chemin en gardant l’espoir, guidé par l’étoile.
J’en suis sur, un jour, il transmettra à son fils, le secret d’Agénador, que lui et moi connaissons…
.. Le secret de l’étoile de la vie.
Le sens du devoir, le goà»t de la liberté, l’aventure, mais aussi le grand amour, régentaient la vie de ces hommes dont, nous avons oublié l’existence dans notre époque o๠l’égoà¯sme et la bêtise domine la société.
Parmi, ces braves, il y en avait un qui s’appelait, Nicolas d’Agénador, capitaine d’un vaisseau du nom de la « chaine brisée ». Ce marin, ami de Surcouf, était lui aussi un aventurier au grand cÅ“ur. Contrairement au capitaine malouin, il ne possédait pas de lettre de course et n’était donc pas reconnu comme corsaire.
Agénador issu d’une noble famille Bretonne, avait du s’enfuir du royaume de France après s’être fourvoyé pour les beaux yeux d’une princesse. Il avait commis beaucoup d’erreurs dans sa vie et était devenu un banni, un paria ….
Depuis il sillonnait la mer et combattait l’Anglais, prêtant dans l’ombre, sa force, à ses amis… Sa devise étant, d’aider les pauvres et de lutter pour la liberté, si bien incarnée par le symbole de la chaine brisée qu’arborait son petit mais solide vaisseau. De ces butins, il ne gardait que le minimum, son équipage servi à sa juste valeur, les pauvres se voyaient remettre le reste.
Drà´le de capitaine, cet Agénador, prêt à donner sa vie pour la justice et pour le bien de autres, mais ainsi était sa vie, faites de calme plat et de tempêtes. Son cÅ“ur le perdra un jour, disaient son équipage et ses amis, mais lui n’en avait que faire, il pensait toujours et son cÅ“ur battant uniquement pour celle qui avait perdu ….
Une nuit noire sans étoiles était tombée, une légère brise faisait claquer les voiles. « Le chaine brisée », naviguait tant bien que mal. L’équipage étant fatigué par le piège tendu par les Anglais, le salut du navire ne tenait que grà¢ce au brouillard qui durait et cachait la vue de celui aux cannons ennemis.
La dureté du métier devait se dire la capitaine, la fin d’un cache-cache était proche. Les vivres et l’eau manquaient, l’avenir se faisait sombre car en temps de guerre, il n’y aurait pas de pitié pour ces hommes. N’étant pas considéré comme des prisonniers de guerre, la corde de la potence semblait leur seule destinée ….
Agénador se tenait à la barre, deux ou trois matelots effectuant le quart, hissant les voiles à la demande de leur capitaine. Emmitouflé dans une vielle gabardine, il cherchait comment faire pour sauver la face, sauver ces gars qui lui avaient tellement fait confiance par le passé… La solution venant peut être dans son ultime redissions sans combat en échange d’une vie sauve pour les autres !
Plus d’autre espoir, donner sa vie simplement en échange d’une promesse, sans illusion, il jeta ce soir là un dernier regard à la mer et vit alors une étrange vague blanche submergé le pont. Pas le temps d’esquisser une dernière manÅ“uvre, trop tard !
Ayant peu à peu reprit ses esprits, Nicolas, fit le constat des dégà¢ts. Ouf, personne n’était passé par-dessus bord, seul le restant de poudre avait pris l’eau. Pas de chance, mais finalement de toute façon, il n’en avait plus besoin vu les circonstances à venir…
C’est alors que son regard fut attiré, près de la barre par un étrange objet qui brillait de mille feux. Le capitaine s’approcha et prit dans ses mains, une petite étoile de mer. Un léger sourire sur son visage, ses yeux bleus furent illuminés d’une lueur.
Ce petit animal ancestral, sans squelette, pas plus grand que sa main était si beau et si fragile. La lumière qu’il dégageait envouta l’homme au cÅ“ur de pierre.
Agénador resta dix bonnes minutes comme figé, sans réaction. Il aurait alors été plus facile pour lui de ne pas y prêter attention et de bouter hors du bateau cet intrus.
Nicolas se pencha alors dangereusement au dessus de l’océan et déposa délicatement le petit échinoderme dans l’eau … à ce moment la un éclair déchira l’obscurité et un coup de tonner se fit entendre.
Un nouveau moment de silence envahit le vaisseau et le nuit. Agénador reprit son souffle et leva alors les yeux vers l’immensité de l’obscurité … une étoile brillait.
La chair de poule lui parcouru alors le corps à la vue de cette étoile qui se déplaçait doucement … qui ne tente rien, n’a rien, le capitaine décida alors de la suivre jusqu’au bout de la nuit.
Quand l’aube fit place au jour et que l’aurore du soleil envahit le pont, « le chaine brisée » avait trouvé comme par miracle, son chemin au milieu de l’armada Anglaise et filait toutes voiles tendues vers sa chère Bretagne et vers la liberté …
Nicolas Agénador avait retrouvé l’espoir, celui de croire en ses valeurs, celui de pouvoir offrir à son équipage le droit de regagner leur terre et de retrouver leur famille … et ceci grà¢ce à une petite étoile, celle de la vie !
Il y a une bonne trentaine d’année, j’étais loin de ma Bretagne, ayant suivi mon père basé à la basse sous marine de la Rochelle. Je parcourais régulièrement la cote et les plages de cette belle région charentaise.
Un jour alors que le temps était couvert, et la chaleur pesante, je fus intrigué par une petite chose brillante.
M’approchant des rochers, je découvris alors un petit animal à cinq branches, une étoile de mer qui se mourrait hors de l’eau.
Mon sang ne fit qu’un tour, l’à¢me écologiste ou de sauveteur sans doute, je décidais donc de prendre celle-ci dans mes mains. Elle était magnifique, j’ai du rester un petit moment à l’observer et puis alors je me suis décidé de la remettre dans son élément naturel.
M’avançant dans les vagues, alors que je la déposai doucement, je ne me rappel plus, mais un coup de toner et un éclair incroyable m’immobilisà¢t. L’eau arrivant à hauteur de mes épaules, je réussi à regagner le rivage…
Plus tard dans ma vie, alors que j’étais perdu quelque part dans un sale coin de ce monde. Me rappelant l’aventure de mon ancêtre Agénador, j’ai décidé de suivre une étoile qui brillait dans la nuit, grà¢ce à elle, j’ai retrouvé moi aussi mon chemin et l’espoir.
Cette étoile, je l’appel l’étoile de la vie, … un jour alors que je parlais à un petit garçon, je lui ai indiqué o๠elle se trouvait dans la grandeur de l’immensité de l’univers, ainsi que ses secrets.
N’ayant pas de descendant, cette étoile est à lui maintenant, je lui ai donnée. Elle veillera toujours sur lui et sa famille, elle le protégera des méandres de la vie. Un jour, alors qu’il sera grand, il fera le bonheur des siens, et s’il a besoin, il retrouvera toujours son chemin en gardant l’espoir, guidé par l’étoile.
J’en suis sur, un jour, il transmettra à son fils, le secret d’Agénador, que lui et moi connaissons…
.. Le secret de l’étoile de la vie.
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CaptainIKA
Eh bien ,tu sais manier la langue française . En tout cas , bravo , tu écris bien .Je reviendrai te lire de temps en temps .Sinon ,oui c'est vrai ,j'ai peur de toi ,ça ne s'explique pas et pourtant , je ne suis pas du genre craintive !!!!! J'aime rire et faire rire . J'aime communiquer mais avec toi ,blocage total !!!! Va savoir ????
Ca viendra peut-être petit à petit ? Ce qui ne veut pas dire que je ne t'apprécie pas puisque je n'ai pas eu l'occasion de discuter avec toi .Il n'y a là aucun jugement mais juste une crainte inexplicable . Et pourtant ce n'est que du net . Imagine sinon,en face de toi Bref,c'est pas grave puisque apparemment je suis la seule !!!! Les autres t'apprécient ,donc ,tu es certainement quelqu'un de bien . Merci d'avoir demandé une explication .Je t'en suis reconnaissante .
Ca viendra peut-être petit à petit ? Ce qui ne veut pas dire que je ne t'apprécie pas puisque je n'ai pas eu l'occasion de discuter avec toi .Il n'y a là aucun jugement mais juste une crainte inexplicable . Et pourtant ce n'est que du net . Imagine sinon,en face de toi Bref,c'est pas grave puisque apparemment je suis la seule !!!! Les autres t'apprécient ,donc ,tu es certainement quelqu'un de bien . Merci d'avoir demandé une explication .Je t'en suis reconnaissante .
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brougi - 2797
La vie nous apprend, la vie nous donne, la vie nous reprend, on croit en la vie, on rêve de la vie et on se construit nous même notre vie.
Nos réussites, nos échecs, c’est nous même qui plus ou moins, consciemment ou inconsciemment en sommes les responsables ….
N’arrivant pas à dormir, l’autre nuit, je suis allé voir mes falaises, comme ça, en pleine nuit, voir, un grand mot car on ne voit rien dans l’obscurité à part les phares de croisement des navires qui vont et viennent et les lumières de la vie qui s’éteignent et s’allume au gré du temps.
Je me suis donc assis sur un banc, là face à la mer, j’ai écouté le bruit des vagues venant heurtés le pied de mes falaises, j’ai écouté le bruit du grand large quand celui-ci touche terre.
Ecouté le silence de la nuit, sans dormir, sans bouger, juste comme ça, essayant de lutter contre le froid, contre mes douleurs, mais aussi penser et réfléchir à ma vie, a qui je suis, ce que je fais, ce que j’ai vécu, ce que je souhaite …
Je suis un ignare, je n’ai jamais appris à écrire le Français, ni appris ce qu’est la littérature, je n’ai jamais lu les classiques, juste par obligation « Marcel Pagnol » et Cie, comme tout écolier.
C’est vrai j’aimerais raconter, mon histoire, dire au combien, j’aime la vie, mais au combien celle-ci est difficile. J’aimerais faire passer le message, qu’il faut mieux vivre en paix que de faire la guerre et combien je préfère voir les gens heureux que de les voir malheureux. Pour leur bonheur et pour le bonheur de celle qui est dans mon cÅ“ur, je pourrais disparaitre et ne plus m’impliquer dans sa vie, simplement comme ça, comme une feuille qui s’envole dans une bourrasque de vent.
J’ai tord, bien souvent de m’emporter d’avoir des sauts d’humeur, mais j’ai aussi un sens, on dit un sixième sens, celui qui m’avertis et me prévient qu’il va se passer quelque chose dans ma vie.
Vendredi après midi, j’ai ressenti un profond mal, limite rupture, plus de force, plus capable d’avancer, comme ci mon oxygène se raréfiait, j’ai eu mal physiquement, contraint pour lutter contre les douleurs d’avoir recours à une médecine que je hais tellement.
Alors la longue nuit d’insomnie ma conduit vers mes falaises, ah mes falaises, j’aurais tant aimé lui les montrer, et ci j’avais eu des enfants un jour, les parcourir en leur compagnie et leur montrer combien cet endroit est magique, combien il est grand, combien la force de la nature peut montrer aux hommes qu’ils ne sont que tout petits.
Ces falaises qui sont la, le dernier cap, l’avancée de rochers dans la manche, qui sont là depuis des milliers d’années à saluer les bateaux qui passent,
De leurs navires, beaucoup d’aventuriers, de coursiers, de terre-neuvas, de matelots, de capitaines ou de corsaires, des plus grands au plus petits, y compris « Surcouf », ont dit « au revoir » ou « adieu » à leur région, celle qui est la mienne aujourd’hui.
Voila, c’est ceux qui m’aura manqué le plus dans la vie, c’est d’avoir des enfants, pour leur apprendre simplement qu’ils doivent vivre dans le respect des autres, dans le respect du monde et faire en sorte que leur bonheur ne doit pas être au dépend de celui des autres…
Utopiste moi dans mes pensées de la nuit, celles de vouloir que la paix soit présente au maximum et que nous cherchions tous des solutions, plutà´t que de chercher un peu de pouvoir et d’écraser les autres pour y arriver.
Dans cette nuit, quelques cris d’oiseaux sont venus, percer le silence, juste pour me rappeler que j’étais bien vivant, alors je me suis encore reposer cette question de savoir pourquoi, oui pourquoi, j’avais passé cette porte pour revenir … Je ne sais pas comme je ne sais pas pourquoi, chaque fois que je prends un coup, je me relève, et je me remets debout, en étant vivant et en allant toujours plus loin devant.
J’étais donc blotti sur ce banc, luttant contre l’humidité du petit jour, du froid naissant, sans dormir, juste sans rien dire. Observant la lune, qui me regardait fièrement, je me suis mis a chanter cette chanson d’Indochine, ? j’ai demandé à la lune, … ?, les étoiles brillaient sans doute pour se moquer de se pauvre chanteur, de ce fou qui aurait mieux fait d’être dans son lit…
L’étoile qui est au sud est et que je regarde et a qui je parle tant, étincelant encore plus la nuit, alors j’ai attendu encore plus avec patience, le moment, oui le moment …
… Ou le soleil sur ma droite à fait son apparition progressivement, ou le noir de la nuit à fait place au jour, dans une variation d’orange et de bleu à la lumière du jour naissant.
Alors devant la beauté qui venait à moi, même si je ne réalise jamais mes rêves, ceux d’être simplement heureux, au moins j’aurais contribué à en donner.
Moi le clown, moi le « captain », moi celui que je suis, oui, j’aurais contribué à donner un peu de bonheur dans ce monde, et si ceux qui sont sous cette étoile sont heureux et bien d’y avoir contribué me suffit …
… alors me vinrent une nouvelle fois mes mots, malgré les coups, t’es debout, malgré les événements t’es vivant, alors vas droit devant …
Nos réussites, nos échecs, c’est nous même qui plus ou moins, consciemment ou inconsciemment en sommes les responsables ….
N’arrivant pas à dormir, l’autre nuit, je suis allé voir mes falaises, comme ça, en pleine nuit, voir, un grand mot car on ne voit rien dans l’obscurité à part les phares de croisement des navires qui vont et viennent et les lumières de la vie qui s’éteignent et s’allume au gré du temps.
Je me suis donc assis sur un banc, là face à la mer, j’ai écouté le bruit des vagues venant heurtés le pied de mes falaises, j’ai écouté le bruit du grand large quand celui-ci touche terre.
Ecouté le silence de la nuit, sans dormir, sans bouger, juste comme ça, essayant de lutter contre le froid, contre mes douleurs, mais aussi penser et réfléchir à ma vie, a qui je suis, ce que je fais, ce que j’ai vécu, ce que je souhaite …
Je suis un ignare, je n’ai jamais appris à écrire le Français, ni appris ce qu’est la littérature, je n’ai jamais lu les classiques, juste par obligation « Marcel Pagnol » et Cie, comme tout écolier.
C’est vrai j’aimerais raconter, mon histoire, dire au combien, j’aime la vie, mais au combien celle-ci est difficile. J’aimerais faire passer le message, qu’il faut mieux vivre en paix que de faire la guerre et combien je préfère voir les gens heureux que de les voir malheureux. Pour leur bonheur et pour le bonheur de celle qui est dans mon cÅ“ur, je pourrais disparaitre et ne plus m’impliquer dans sa vie, simplement comme ça, comme une feuille qui s’envole dans une bourrasque de vent.
J’ai tord, bien souvent de m’emporter d’avoir des sauts d’humeur, mais j’ai aussi un sens, on dit un sixième sens, celui qui m’avertis et me prévient qu’il va se passer quelque chose dans ma vie.
Vendredi après midi, j’ai ressenti un profond mal, limite rupture, plus de force, plus capable d’avancer, comme ci mon oxygène se raréfiait, j’ai eu mal physiquement, contraint pour lutter contre les douleurs d’avoir recours à une médecine que je hais tellement.
Alors la longue nuit d’insomnie ma conduit vers mes falaises, ah mes falaises, j’aurais tant aimé lui les montrer, et ci j’avais eu des enfants un jour, les parcourir en leur compagnie et leur montrer combien cet endroit est magique, combien il est grand, combien la force de la nature peut montrer aux hommes qu’ils ne sont que tout petits.
Ces falaises qui sont la, le dernier cap, l’avancée de rochers dans la manche, qui sont là depuis des milliers d’années à saluer les bateaux qui passent,
De leurs navires, beaucoup d’aventuriers, de coursiers, de terre-neuvas, de matelots, de capitaines ou de corsaires, des plus grands au plus petits, y compris « Surcouf », ont dit « au revoir » ou « adieu » à leur région, celle qui est la mienne aujourd’hui.
Voila, c’est ceux qui m’aura manqué le plus dans la vie, c’est d’avoir des enfants, pour leur apprendre simplement qu’ils doivent vivre dans le respect des autres, dans le respect du monde et faire en sorte que leur bonheur ne doit pas être au dépend de celui des autres…
Utopiste moi dans mes pensées de la nuit, celles de vouloir que la paix soit présente au maximum et que nous cherchions tous des solutions, plutà´t que de chercher un peu de pouvoir et d’écraser les autres pour y arriver.
Dans cette nuit, quelques cris d’oiseaux sont venus, percer le silence, juste pour me rappeler que j’étais bien vivant, alors je me suis encore reposer cette question de savoir pourquoi, oui pourquoi, j’avais passé cette porte pour revenir … Je ne sais pas comme je ne sais pas pourquoi, chaque fois que je prends un coup, je me relève, et je me remets debout, en étant vivant et en allant toujours plus loin devant.
J’étais donc blotti sur ce banc, luttant contre l’humidité du petit jour, du froid naissant, sans dormir, juste sans rien dire. Observant la lune, qui me regardait fièrement, je me suis mis a chanter cette chanson d’Indochine, ? j’ai demandé à la lune, … ?, les étoiles brillaient sans doute pour se moquer de se pauvre chanteur, de ce fou qui aurait mieux fait d’être dans son lit…
L’étoile qui est au sud est et que je regarde et a qui je parle tant, étincelant encore plus la nuit, alors j’ai attendu encore plus avec patience, le moment, oui le moment …
… Ou le soleil sur ma droite à fait son apparition progressivement, ou le noir de la nuit à fait place au jour, dans une variation d’orange et de bleu à la lumière du jour naissant.
Alors devant la beauté qui venait à moi, même si je ne réalise jamais mes rêves, ceux d’être simplement heureux, au moins j’aurais contribué à en donner.
Moi le clown, moi le « captain », moi celui que je suis, oui, j’aurais contribué à donner un peu de bonheur dans ce monde, et si ceux qui sont sous cette étoile sont heureux et bien d’y avoir contribué me suffit …
… alors me vinrent une nouvelle fois mes mots, malgré les coups, t’es debout, malgré les événements t’es vivant, alors vas droit devant …
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CaptainIKA
Soleil d’été, pourquoi tu te caches ?
Dame hiver, peu à peu elle s’efface
Laissant trop vite le jeu du temps !
Au bon père, qu’on appel le printemps
Les enfants cueillent les premières fleurs
Des primevères pour faire sourire les cÅ“urs
De leurs mamans qui attendent patiemment
Le retour des beaux jours et du beau temps
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Le ciel est toujours paré de gris
Alors que les jours gagnent sur la nuit
Les vents sèchent les dernières peines
Les blés verdissent on cÅ“ur la plaine
On dit que le temps simplement passe
Les enfants grandissent sans qu’on s’en lasse
Le capitaine lui à déposé ses armes
La guerre ne fabrique que des larmes
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Une musique, les quatre saisons de Vivaldi
Les temps qui courent si vite face à la vie
Quand moi je regarde passer les nuages
Avec le temps les enfants sont devenus sage
Petite princesse est la reine des océans
Sur son voilier aux couleurs du noir et blanc
On oublie toutes les tempêtes d’automne
Mon petit prince est devenu un grand homme
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Le capitaine est un vieillard maintenant
Mais il se joue encore et toujours du temps
Une éclaircie doucement un peu de ciel bleu
S’arrête la pluie je repense à tes yeux
Quelques notes de musique, un air classique
Pour moi l’un des derniers romantiques
Tant pis mais le piano semble mal accordé
Oh surprise, te voila soleil d’été …. Soleil d’été
Dame hiver, peu à peu elle s’efface
Laissant trop vite le jeu du temps !
Au bon père, qu’on appel le printemps
Les enfants cueillent les premières fleurs
Des primevères pour faire sourire les cÅ“urs
De leurs mamans qui attendent patiemment
Le retour des beaux jours et du beau temps
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Le ciel est toujours paré de gris
Alors que les jours gagnent sur la nuit
Les vents sèchent les dernières peines
Les blés verdissent on cÅ“ur la plaine
On dit que le temps simplement passe
Les enfants grandissent sans qu’on s’en lasse
Le capitaine lui à déposé ses armes
La guerre ne fabrique que des larmes
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Une musique, les quatre saisons de Vivaldi
Les temps qui courent si vite face à la vie
Quand moi je regarde passer les nuages
Avec le temps les enfants sont devenus sage
Petite princesse est la reine des océans
Sur son voilier aux couleurs du noir et blanc
On oublie toutes les tempêtes d’automne
Mon petit prince est devenu un grand homme
Douce musique, qu’on dit magique,
Pour le dernier des romantiques !
Le capitaine est un vieillard maintenant
Mais il se joue encore et toujours du temps
Une éclaircie doucement un peu de ciel bleu
S’arrête la pluie je repense à tes yeux
Quelques notes de musique, un air classique
Pour moi l’un des derniers romantiques
Tant pis mais le piano semble mal accordé
Oh surprise, te voila soleil d’été …. Soleil d’été
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CaptainIKA
Beau poèmes ,Den ,d'un homme un peu énigmatique , qui apparemment souffre d'un mal qui le ronge encore .Mais je vois qu'il y a une belle à tes cà´tés qui t'aide à te relever . Au plaisir de lire tes poèmes
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brougi - 2797
La nuit des temps
Peu à peu
L’été s’en est allée
Peu à peu
Les arbres se sont dénudés
Mais le vent n’emportera jamais
Les souvenirs d’un moment o๠j’étais
C’est la vie qui fait place à l’automne
Faux fuyant solitude du cœur d’un homme
C’est la fin des combats
On a éteint les lumières de l’espoir
Simple geste et simple constat
Le mot fin sur le générique de l’histoire
On dit que seul l’avenir le dira
Si demain la couleur du ciel changera
C’est la fuite vers un soleil couchant
L’homme marche encore seul maintenant
Peu à peu
Les jours vont s’effilocher
Peu à peu
La nuit elle va s’installer
Le sombre lui n’effacera jamais
Les beaux jours et ce qu’on garde de leur parfait
Le soleil, un peu là¢che, à coup sur, lui abandonne
Le froid s’installe dans ma vie d’homme
C’est la fin des combats
La défaite à pris la place de la victoire
Le silence fait peur aux braves soldats
Les sentiments résistent dans les mémoires
J’ai déposé mes armes devant toi
Mes larmes coulent encore une dernière fois
La tempête à regroupé l’ensemble des vents
Je marche sur ce chemin encore un moment
Peu à peu
La neige elle va tomber
Peu à peu
Mes traces vont s’effacer
Mon cœur lui n’oubliera jamais
Le bonheur de quelques heures était parfait
L’hiver violemment à pris la place de l’automne
Sous les étoiles peu à peu le jeu s’abandonne
Peu à peu
L’été s’en est allée
Peu à peu
Les arbres se sont dénudés
Mais le vent n’emportera jamais
Les souvenirs d’un moment o๠j’étais
C’est la vie qui fait place à l’automne
Faux fuyant solitude du cœur d’un homme
C’est la fin des combats
On a éteint les lumières de l’espoir
Simple geste et simple constat
Le mot fin sur le générique de l’histoire
On dit que seul l’avenir le dira
Si demain la couleur du ciel changera
C’est la fuite vers un soleil couchant
L’homme marche encore seul maintenant
Peu à peu
Les jours vont s’effilocher
Peu à peu
La nuit elle va s’installer
Le sombre lui n’effacera jamais
Les beaux jours et ce qu’on garde de leur parfait
Le soleil, un peu là¢che, à coup sur, lui abandonne
Le froid s’installe dans ma vie d’homme
C’est la fin des combats
La défaite à pris la place de la victoire
Le silence fait peur aux braves soldats
Les sentiments résistent dans les mémoires
J’ai déposé mes armes devant toi
Mes larmes coulent encore une dernière fois
La tempête à regroupé l’ensemble des vents
Je marche sur ce chemin encore un moment
Peu à peu
La neige elle va tomber
Peu à peu
Mes traces vont s’effacer
Mon cœur lui n’oubliera jamais
Le bonheur de quelques heures était parfait
L’hiver violemment à pris la place de l’automne
Sous les étoiles peu à peu le jeu s’abandonne
-
CaptainIKA
Le destin du chevalier perdant
Voilà , juste comme un rien
Pour vous je ne suis plus rien
Alors je m’en vais vers le loin
Pour ne plus croiser vos chemins
Je m’en vais pousser par le vent
Au delà de tout les océans
Un voyage qui durera mille ans
Le destin d’un chevalier perdant
Eole me pousse vers l’inconnu
Loin des cœurs d’o๠j’ai disparu
Jusque comme ça sans retenue
Les amarres un jour se sont rompues
Mon voyage sera des plus longs
Oubliant le sens de la navigation
Cap sur d’autres divagations
Sans plus retenir ton attention
Dans des ports aux mille sirènes
J’écouterais le discours des bohémiennes
L’océan deviendra pour moi la plaine
Le sel et le vent séchant mes peines
En route pour d’autres latitudes
A la recherche de l’ile de la solitude
J’y apprendrais la vie sans habitude
Un avenir sans aucunes certitudes
Je m’en vais pousser par le vent
Au delà de tout les océans
Un voyage qui durera mille ans
Le destin d’un chevalier perdant
Mon voyage si longtemps durera
Plus de moins mille ans je le crois
Mais un jour une étoile me conduira
Dans une autre vie, peut être vers toi …….
Voilà , juste comme un rien
Pour vous je ne suis plus rien
Alors je m’en vais vers le loin
Pour ne plus croiser vos chemins
Je m’en vais pousser par le vent
Au delà de tout les océans
Un voyage qui durera mille ans
Le destin d’un chevalier perdant
Eole me pousse vers l’inconnu
Loin des cœurs d’o๠j’ai disparu
Jusque comme ça sans retenue
Les amarres un jour se sont rompues
Mon voyage sera des plus longs
Oubliant le sens de la navigation
Cap sur d’autres divagations
Sans plus retenir ton attention
Dans des ports aux mille sirènes
J’écouterais le discours des bohémiennes
L’océan deviendra pour moi la plaine
Le sel et le vent séchant mes peines
En route pour d’autres latitudes
A la recherche de l’ile de la solitude
J’y apprendrais la vie sans habitude
Un avenir sans aucunes certitudes
Je m’en vais pousser par le vent
Au delà de tout les océans
Un voyage qui durera mille ans
Le destin d’un chevalier perdant
Mon voyage si longtemps durera
Plus de moins mille ans je le crois
Mais un jour une étoile me conduira
Dans une autre vie, peut être vers toi …….
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CaptainIKA
La Partie de cartes
La partie de cartes est à peine commencée
Les cartes sont pour moi trop vite distribuées
J’ai même pas eu le temps de voir l’atout
A mon avis ça va être très rude pour nous
Nos adversaires commencent à carreau
Et mon partenaire lui monte de plus beau
Le valet tombé sur ma droite va faire le pli
Je regarde mon jeu et donne le dix tant pis
Deux des joueurs se félicitent mutuellement
Moi je lance à mon ami des encouragements
Pas le temps de relever pour nous un peu la tête
Le deuxième plis se solde rapidement d’une défaite
Mon adversaire de droite se presse de mettre du cœur
Content de moi, j ‘ai le dix pour mon bonheur
Zut, son partenaire se fait une joie de surmonter
As de carreau en face, dommage on laisse filer
La quatrième donne nous démontre l’évidence
Tout les deux, on n’a pas avec nous la chance
Pour eux, le cinquième plis n’est que formalité
Nos cartes tombent une à une sans combativité
L’important n’est pas la, dans la vie il y a plus grave
Et avec mon complice, on joue et on s’encourage
Nos adversaires n’arrêtent plus de crier leur victoire
Le sixième plis remporté par un as de pique tout noir
Et comme pour mieux enfoncer de nouveau le clou
Ils se font plaisir de rejouer encore un tour d’atout
Dur cette partie quand tu n’as pas un petit peu de jeu
Mais c’est pas pour ça qu’on reste deux malheureux
Si le croupier avait distribuer les cartes autrement
Moi et mon partenaire ont auraient gagné sà»rement
Mais après une telle raclée on a hà¢te de terminer
Gagner ou perdre, l’importance est de participer
Pourtant nous avons joué sans leur faire de cadeau
C’est dur mais on va finir sur un drà´le de capot
La vie c’est comme ça tu joue aussi trop si souvent
Tu gagnes tu perds, mais tu restes, c’est l’important
Mon voisin de gauche lance un neuf de cœur sur le tapis
Mon partenaire met un trèfle pour compléter le plis
Le troisième joueur donne un dix de la même couleur
On est sauvés, ma dernière carte c’est la dame de cÅ“ur
Dans sa vie, il faut toujours croire un jour à son étoile
N’avoir pas peur du lendemain et de hisser les voiles
Car même si tu crois que tout est vraiment fini pour toi
N’ai pas peur, tu est debout alors fonce encore tout droit
Car si tu crois que pour toi la partie est déjà finie
Garde le cap, le brouillard ne s’étend pas à l’infini
Ne jamais croire que s’achève comme ça ta route
Pour toujours garder l’espoir et vaincre tes doutes
Car tu as dans ton jeu pour ton plus grand bonheur
Une dernière carte, comme moi la dame de cÅ“ur …
La partie de cartes est à peine commencée
Les cartes sont pour moi trop vite distribuées
J’ai même pas eu le temps de voir l’atout
A mon avis ça va être très rude pour nous
Nos adversaires commencent à carreau
Et mon partenaire lui monte de plus beau
Le valet tombé sur ma droite va faire le pli
Je regarde mon jeu et donne le dix tant pis
Deux des joueurs se félicitent mutuellement
Moi je lance à mon ami des encouragements
Pas le temps de relever pour nous un peu la tête
Le deuxième plis se solde rapidement d’une défaite
Mon adversaire de droite se presse de mettre du cœur
Content de moi, j ‘ai le dix pour mon bonheur
Zut, son partenaire se fait une joie de surmonter
As de carreau en face, dommage on laisse filer
La quatrième donne nous démontre l’évidence
Tout les deux, on n’a pas avec nous la chance
Pour eux, le cinquième plis n’est que formalité
Nos cartes tombent une à une sans combativité
L’important n’est pas la, dans la vie il y a plus grave
Et avec mon complice, on joue et on s’encourage
Nos adversaires n’arrêtent plus de crier leur victoire
Le sixième plis remporté par un as de pique tout noir
Et comme pour mieux enfoncer de nouveau le clou
Ils se font plaisir de rejouer encore un tour d’atout
Dur cette partie quand tu n’as pas un petit peu de jeu
Mais c’est pas pour ça qu’on reste deux malheureux
Si le croupier avait distribuer les cartes autrement
Moi et mon partenaire ont auraient gagné sà»rement
Mais après une telle raclée on a hà¢te de terminer
Gagner ou perdre, l’importance est de participer
Pourtant nous avons joué sans leur faire de cadeau
C’est dur mais on va finir sur un drà´le de capot
La vie c’est comme ça tu joue aussi trop si souvent
Tu gagnes tu perds, mais tu restes, c’est l’important
Mon voisin de gauche lance un neuf de cœur sur le tapis
Mon partenaire met un trèfle pour compléter le plis
Le troisième joueur donne un dix de la même couleur
On est sauvés, ma dernière carte c’est la dame de cÅ“ur
Dans sa vie, il faut toujours croire un jour à son étoile
N’avoir pas peur du lendemain et de hisser les voiles
Car même si tu crois que tout est vraiment fini pour toi
N’ai pas peur, tu est debout alors fonce encore tout droit
Car si tu crois que pour toi la partie est déjà finie
Garde le cap, le brouillard ne s’étend pas à l’infini
Ne jamais croire que s’achève comme ça ta route
Pour toujours garder l’espoir et vaincre tes doutes
Car tu as dans ton jeu pour ton plus grand bonheur
Une dernière carte, comme moi la dame de cÅ“ur …
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CaptainIKA
Très joli poème Den et tellement vrai..
Quand j'aurais le moral à 0 je reviendrais lire ce passage et je suis sure qu'après tout ira mieux
Surcouf a écrit:Dans sa vie, il faut toujours croire un jour à son étoile
N’avoir pas peur du lendemain et de hisser les voiles
Car même si tu crois que tout est vraiment fini pour toi
N’ai pas peur, tu est debout alors fonce encore tout droit
Car si tu crois que pour toi la partie est déjà finie
Garde le cap, le brouillard ne s’étend pas à l’infini
Quand j'aurais le moral à 0 je reviendrais lire ce passage et je suis sure qu'après tout ira mieux
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mawi48 - 512
Merci, mais ce poème n'est pas récent, il doit dater de 2 ou 3 ans
j'étais plus courageux que maintenant !
j'étais plus courageux que maintenant !
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CaptainIKA
Le rocher
Le soleil se lève sur la mer
Je suis la assis sur un rocher
Enivré d’odeur de bruyères
Pour moi le temps s’est figé
Un bateau au loin s’en va
Mais ce n’est pas important
Le bruit des vagues et son fracas
Me rappel qu’il y a du vent
Qu’il y a du vent …
Je ferme un peu les yeux
C’est ma façon à moi de croire
En un monde un peu mieux
O๠la couleur chasserait le noir
Une mouette s’ébat dans le ciel
Et moi je ne peux plus bouger
On dit que les anges ont des ailes
Et qu’ils peuvent voler
Peuvent voler ….
On dit que le monde est grand
Moi d’o๠je suis je le vois si petit
Sur ces falaises dominant l’océan
La o๠les oiseaux font leurs nids
Comme au milieu d’un désert aride
Loin des bruits et de leurs clameurs
Plongeant comme attiré par le vide
Perdu si loin de ton cœur
De ton cœur ….
Des gens passent sans même admirer
La beauté du paysage qui s’offre à eux
Et ce que l’érosion du passé nous à laissé
Même Le ciel est devenu d’un joli bleu
Des enfants font entendre leurs rires
L’univers est trop grand et je suis petit
Bientà´t la lumière devant la nuit va s’enfuir
C’est comme ça un jour que ça fini
Que ça fini …
Tant qu’il y a aura un peu de vent
Qui nous permet de nous envoler
L’espoir durera plus que le firmament
D’un jour de soleil de vous retrouver
Même si c’est loin de vos cÅ“urs
Et que nos vies disent que c’est fini
Je reste comme un doux rêveur
Sur le rocher o๠je me suis endormi ….
Le soleil se lève sur la mer
Je suis la assis sur un rocher
Enivré d’odeur de bruyères
Pour moi le temps s’est figé
Un bateau au loin s’en va
Mais ce n’est pas important
Le bruit des vagues et son fracas
Me rappel qu’il y a du vent
Qu’il y a du vent …
Je ferme un peu les yeux
C’est ma façon à moi de croire
En un monde un peu mieux
O๠la couleur chasserait le noir
Une mouette s’ébat dans le ciel
Et moi je ne peux plus bouger
On dit que les anges ont des ailes
Et qu’ils peuvent voler
Peuvent voler ….
On dit que le monde est grand
Moi d’o๠je suis je le vois si petit
Sur ces falaises dominant l’océan
La o๠les oiseaux font leurs nids
Comme au milieu d’un désert aride
Loin des bruits et de leurs clameurs
Plongeant comme attiré par le vide
Perdu si loin de ton cœur
De ton cœur ….
Des gens passent sans même admirer
La beauté du paysage qui s’offre à eux
Et ce que l’érosion du passé nous à laissé
Même Le ciel est devenu d’un joli bleu
Des enfants font entendre leurs rires
L’univers est trop grand et je suis petit
Bientà´t la lumière devant la nuit va s’enfuir
C’est comme ça un jour que ça fini
Que ça fini …
Tant qu’il y a aura un peu de vent
Qui nous permet de nous envoler
L’espoir durera plus que le firmament
D’un jour de soleil de vous retrouver
Même si c’est loin de vos cÅ“urs
Et que nos vies disent que c’est fini
Je reste comme un doux rêveur
Sur le rocher o๠je me suis endormi ….
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CaptainIKA
tres beau ce que tu as ecrit surcouf tres triste dans ta vie aussi refait surface capitaine
et ecrit vite un peu plus gaie je te salut
et ecrit vite un peu plus gaie je te salut
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bastien - 60
tes poèmes me laissent toujours sans mot..
tellement mélancolique et tellement toi !!
Il faut croire en ton étoile et garder espoir!
tellement mélancolique et tellement toi !!
Il faut croire en ton étoile et garder espoir!
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mawi48 - 512
Très émouvant Den'...Sincèrement ,j'espère que celle qui manque à ta vie se rapprochera de toi afin de retrouver ton équilibre
Den'
Den'
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Habibti47 - 3294
Les souvenirs de mon passé
On ne doit jamais rougir de ses origines ni de son passé
Moi d’o๠je viens, j’en suis fier et je ne l’ai jamais oublié
Arrivé au bout de mon aventure ou simplement un peu fatigué
J’ai décidé de monter là haut faire le tri dans mon grenier
O๠dorment les souvenirs du passé entassés là si nombreux
Des choses qui restent dans nos cÅ“urs même loin des yeux
En me saisissant d’un vieux livre d’écolier un peu jauni
J’y ai retrouvé au hasard une photo de moi quand j’étais petit
On ne doit jamais rougir de ses origines ni de son passé
Moi d’o๠je viens, j’en suis fier et je ne l’ai jamais oublié
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Je me rappel des quinze septembre et de l’angoisse de la rentrée
Je n’ai pas oublié les odeurs de craie et celles des protèges cahier
A l’école je rêvassais bien souvent en regardant par la fenêtre
Les nuages blancs que je suivais du doigt en me disant peut être
Que j’irais un jour au bout de la terre quand je serais grand
Cherchant des trésors imaginaires quand on à pas encore huit ans
Mes doigts se souviennent encore du maà®tre et de son autorité
Quand j’oubliais les s et faisais trop de fautes dans ma dictée
Un samedi matin, la porte de l’école cassée d’un coup de ballon
Me valu une de mes plus belles et plus sévère punition
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Je me souviens des soirs d’automne et des chà¢taignes grillées
Des mardis gras o๠nous dansions dans les rues tous déguisés
De nos batailles de boule de neige quand l’hiver se faisait blanc
Des jurons de mon grand père devant nos bêtises de chenapan
Au printemps les odeurs de violettes et la cueillette de primevères
Des bouquets dont j’étais si fier et que j’offrais en riant à ma mère
Nos jeux et nos jouets de rien naissaient de notre imagination
Ces pensées là , me rappellent le bon temps o๠il faisait si bon
La vie était simple et chez nous finalement nous ne manquions de rien
Sauf pour moi de mon père, pas facile d’être le fils d’un marin !
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Les mardi soirs nous avions droit de voir à la télé nos idoles
Des films en noir et blanc et des aventures de pantin et de guignol
Des aventures Tarzan, de croc blanc ou de chasse à la baleine
Le lendemain matin nous étions tous devenus de grand capitaine
Nos océans étaient les champs de blés o๠nous gambadions
Sans nous soucier du temps qui passe et de ses tourbillons
Si j’avais eu des enfants je leurs aurait fait un jour découvrir
Ce qui reste de mon passé et de mes plus beaux souvenirs
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
La vie nous joue des tours même et moi j’écris des poèmes
En rêvassant d’une vie d’aventure o๠de celle d’un capitaine
Moi je voulais voir seulement voir grandir le bonheur dans tes yeux
Qui restent plus jolis que le plus beaux des ciels bleus …
On ne doit jamais rougir de ses origines ni de son passé
Moi d’o๠je viens, j’en suis fier et je ne l’ai jamais oublié
Arrivé au bout de mon aventure ou simplement un peu fatigué
J’ai décidé de monter là haut faire le tri dans mon grenier
O๠dorment les souvenirs du passé entassés là si nombreux
Des choses qui restent dans nos cÅ“urs même loin des yeux
En me saisissant d’un vieux livre d’écolier un peu jauni
J’y ai retrouvé au hasard une photo de moi quand j’étais petit
On ne doit jamais rougir de ses origines ni de son passé
Moi d’o๠je viens, j’en suis fier et je ne l’ai jamais oublié
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Je me rappel des quinze septembre et de l’angoisse de la rentrée
Je n’ai pas oublié les odeurs de craie et celles des protèges cahier
A l’école je rêvassais bien souvent en regardant par la fenêtre
Les nuages blancs que je suivais du doigt en me disant peut être
Que j’irais un jour au bout de la terre quand je serais grand
Cherchant des trésors imaginaires quand on à pas encore huit ans
Mes doigts se souviennent encore du maà®tre et de son autorité
Quand j’oubliais les s et faisais trop de fautes dans ma dictée
Un samedi matin, la porte de l’école cassée d’un coup de ballon
Me valu une de mes plus belles et plus sévère punition
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Je me souviens des soirs d’automne et des chà¢taignes grillées
Des mardis gras o๠nous dansions dans les rues tous déguisés
De nos batailles de boule de neige quand l’hiver se faisait blanc
Des jurons de mon grand père devant nos bêtises de chenapan
Au printemps les odeurs de violettes et la cueillette de primevères
Des bouquets dont j’étais si fier et que j’offrais en riant à ma mère
Nos jeux et nos jouets de rien naissaient de notre imagination
Ces pensées là , me rappellent le bon temps o๠il faisait si bon
La vie était simple et chez nous finalement nous ne manquions de rien
Sauf pour moi de mon père, pas facile d’être le fils d’un marin !
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
Les mardi soirs nous avions droit de voir à la télé nos idoles
Des films en noir et blanc et des aventures de pantin et de guignol
Des aventures Tarzan, de croc blanc ou de chasse à la baleine
Le lendemain matin nous étions tous devenus de grand capitaine
Nos océans étaient les champs de blés o๠nous gambadions
Sans nous soucier du temps qui passe et de ses tourbillons
Si j’avais eu des enfants je leurs aurait fait un jour découvrir
Ce qui reste de mon passé et de mes plus beaux souvenirs
Moi je voulais voir grandir mon bonheur dans te s yeux
Qui sont plus jolis que n’importe quel ciel bleu !
La vie nous joue des tours même et moi j’écris des poèmes
En rêvassant d’une vie d’aventure o๠de celle d’un capitaine
Moi je voulais voir seulement voir grandir le bonheur dans tes yeux
Qui restent plus jolis que le plus beaux des ciels bleus …
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