Pas grand chose ... juste de moi et de vous
mes poésies, mes musiques ... un peu de moi
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"Ne pas trop se tourner vers le passé, ne pas trop se tourner vers l'avenir: vivre chaque instant présent.
ça c'est la recette théorique. La pratique est bien plus dure certes " (saint shit le philosophe)
ça c'est la recette théorique. La pratique est bien plus dure certes " (saint shit le philosophe)
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shishit51 - 1338
le passe fait partie du present il faut se servir de lui mais pas le regretter
j'aime beaucoup ce que tu ecrit captain
j'aime beaucoup ce que tu ecrit captain
-
bastien - 60
complainte d'un Lundi
Six- heures du matin le réveil n’arrête pas de sonner
Je cherche d’une main maladroite à l’en empêcher
Cette nuit j’ai eu froid et je n’ai pas encore dormi
Mais il faut que je me lève car nous sommes le lundi
Déjà le lundi !
Oh oui ! Déjà le lundi !
Dur d’aller se laver quand on est encore assoupi
Mais o๠elle est cette douche et je glisse sur le tapis
Aille ça fait mal, je me suis cogner le genou
Un peu de nerf mon gars faut pas aller tout doux
Aller tout doux !
Oh non ! pas encore ce genou !
Pas le temps de me raser il est déjà sept heures
Le petit déjeuner pas frais me reste sur le cÅ“ur
C’est pas facile je suis pas au top mais je dois y aller
Zut de zut mais mon automobile refuse de démarrer
Refuse de démarrer !
Putain de saleté !
à‡a y est enfin je vais là¢cher les chevaux moteur
Mais je ne serais jamais au bureau pour huit heures
Et mon patron va s’en doute encore m’engueuler
Après tout es ce de ma faute si ça ne fait que trainer
Oh yé que trainer !
Ce camion il fait que trainer !
Aller je le double j’appuie comme un fou sur le champignon
Yess , je le laisse derrière moi, sur cette route suis un champion
La musique à fond dans ma bagnole je fais plus attention
Je chante a pleine tête, je rigole mais oh non !
Oh non !
Monsieur le gendarme pardon !
Sur ce coup là plus rien ne va pour moi aujourd’hui
En retard une nouvelle fois et trois points de moins sur le permis
Arrivé enfin au bureau je vais devoir faire de mon mieux
Pour avancer dans mes dossiers toute façon dehors il pleut
Il pleut !
C’est saoulant ce temps pluvieux !
La secrétaire s’acharne en vain et essaye de me résonner
D’arrêter de grogner après les clients toujours trop pressés
J’avancerais pas de toute façon faut pas me voiler la face
Alors en sifflotant je me laisse porter par le temps qui passe
Le temps qui passe !
Cette journée me lasse !
Devis, commandes et J’ai pas vu passer cette après midi
Tant mieux car sinon c’est triste un travail o๠l’on s’ennuie
Dix huit heures je vais me dépêcher de rentrer chez moi
Au moins je serais sans doute mieux enfin sans doute je crois,
En fin je crois !
Je crois ou je ne crois pas !
La route défile, rangez vous les gens c’est moi qui arrive
Les autres automobiles je ne les vois pas je les esquive
Espèce de con je n’ai pas acheté de pain et j’en ai plus
Ce soir ce sera une pomme, pas de bol elle aussi est foutue
Elle est foutue !
Suis fatigué je n’en peux plus !
Alors je rentre sous ma couette dans ce grand lit mal fait
Y à rien à la télé, 200 chaines et décidément rien ne me plais
Un dernier coup d’œil sur mon téléphone mais t’as pas appelé
Alors je ferme les yeux il est temps pour moi de m’en aller
De m’en aller !
Et ce réveil qui n’arrête pas de sonner !!!
Six- heures du matin le réveil n’arrête pas de sonner
Je cherche d’une main maladroite à l’en empêcher
Cette nuit j’ai eu froid et je n’ai pas encore dormi
Mais il faut que je me lève car nous sommes le lundi
Déjà le lundi !
Oh oui ! Déjà le lundi !
Dur d’aller se laver quand on est encore assoupi
Mais o๠elle est cette douche et je glisse sur le tapis
Aille ça fait mal, je me suis cogner le genou
Un peu de nerf mon gars faut pas aller tout doux
Aller tout doux !
Oh non ! pas encore ce genou !
Pas le temps de me raser il est déjà sept heures
Le petit déjeuner pas frais me reste sur le cÅ“ur
C’est pas facile je suis pas au top mais je dois y aller
Zut de zut mais mon automobile refuse de démarrer
Refuse de démarrer !
Putain de saleté !
à‡a y est enfin je vais là¢cher les chevaux moteur
Mais je ne serais jamais au bureau pour huit heures
Et mon patron va s’en doute encore m’engueuler
Après tout es ce de ma faute si ça ne fait que trainer
Oh yé que trainer !
Ce camion il fait que trainer !
Aller je le double j’appuie comme un fou sur le champignon
Yess , je le laisse derrière moi, sur cette route suis un champion
La musique à fond dans ma bagnole je fais plus attention
Je chante a pleine tête, je rigole mais oh non !
Oh non !
Monsieur le gendarme pardon !
Sur ce coup là plus rien ne va pour moi aujourd’hui
En retard une nouvelle fois et trois points de moins sur le permis
Arrivé enfin au bureau je vais devoir faire de mon mieux
Pour avancer dans mes dossiers toute façon dehors il pleut
Il pleut !
C’est saoulant ce temps pluvieux !
La secrétaire s’acharne en vain et essaye de me résonner
D’arrêter de grogner après les clients toujours trop pressés
J’avancerais pas de toute façon faut pas me voiler la face
Alors en sifflotant je me laisse porter par le temps qui passe
Le temps qui passe !
Cette journée me lasse !
Devis, commandes et J’ai pas vu passer cette après midi
Tant mieux car sinon c’est triste un travail o๠l’on s’ennuie
Dix huit heures je vais me dépêcher de rentrer chez moi
Au moins je serais sans doute mieux enfin sans doute je crois,
En fin je crois !
Je crois ou je ne crois pas !
La route défile, rangez vous les gens c’est moi qui arrive
Les autres automobiles je ne les vois pas je les esquive
Espèce de con je n’ai pas acheté de pain et j’en ai plus
Ce soir ce sera une pomme, pas de bol elle aussi est foutue
Elle est foutue !
Suis fatigué je n’en peux plus !
Alors je rentre sous ma couette dans ce grand lit mal fait
Y à rien à la télé, 200 chaines et décidément rien ne me plais
Un dernier coup d’œil sur mon téléphone mais t’as pas appelé
Alors je ferme les yeux il est temps pour moi de m’en aller
De m’en aller !
Et ce réveil qui n’arrête pas de sonner !!!
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CaptainIKA
euh c'était de l'humour et comme déja dit cette oeuvre (peut être magnifique en soit elle) n'est pas la retranscription de la réalité sauf qu'elle ne ma pas appelé, c'est fait depuis , le reste n'est qu'imagination, la pomme fut un délicieux dessert !
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CaptainIKA
Vivre pour la liberté
Au loin le son des cannons déjà résonne,
Bientà´t ce sera le grand jour !
Dans la tranchée tomberont un à un les hommes
Et pour toujours !
Dans les villes la liberté qu’on emprisonne,
A force de discours !
Comme un capitaine qu’on abandonne,
En manque d’amour !
Lutter pour sa liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Mourir sans ne rien regretter,
C’est le destin vers l’oubli
C’est pas facile mais faut tout quitter,
Seuls resteront les souvenirs !
Et si demain au front il faut tomber
Autant mourir !
Les courageux n’ont pas peur de s’en aller
Sans jamais revenir !
De toute façon c’est le prix à payer
Tans pis pour le plaisir !
Lutter jusqu'à l’infini,
Sans se soucier, du futur ni du passé …
Tomber sous les balles d’un ennemi
Qui lui aussi n’avait rien demandé !
Ceux qui un jour déclare les guerres
Vivent dans l’insouciance !
Les soldats s’en remettent à dieu dans des prières
Au milieu de leurs souffrances !
Un dernier cri pour appeler leurs mères
Comme dans leur enfance !
Bientà´t on les recouvrira de terre
Sans aucune complaisance !
Lutter pour sa liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Mourir sans ne rien regretter,
C’est le destin vers l’oubli !
En première ligne, les volontaires au grand cÅ“ur
Sont les premiers !
Au village les enfants et les femmes pleurent
Ceux qui sont tombés !
Le capitaine dos au poteau garde son honneur
Ses yeux ne seront pas bandés !
Le ciel est bleu ce matin dans sa fraicheur
Un dernier cri pour la liberté !
Mourir pour la liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Partir sans ne rien laisser,
C’est le destin vers l’oubli !
Le ciel bleu sur la plaine un jour reviendra
Comme au premier jour !
De nouveau dans les villages, on dansera
La vie reprendra son cours !
Les enfants cueilleront des fleurs à tour de bras
Et les déposeront pas amour !
Là au bout du chemin o๠il y a une croix
O๠le capitaine dors pour toujours ….
Au loin le son des cannons déjà résonne,
Bientà´t ce sera le grand jour !
Dans la tranchée tomberont un à un les hommes
Et pour toujours !
Dans les villes la liberté qu’on emprisonne,
A force de discours !
Comme un capitaine qu’on abandonne,
En manque d’amour !
Lutter pour sa liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Mourir sans ne rien regretter,
C’est le destin vers l’oubli
C’est pas facile mais faut tout quitter,
Seuls resteront les souvenirs !
Et si demain au front il faut tomber
Autant mourir !
Les courageux n’ont pas peur de s’en aller
Sans jamais revenir !
De toute façon c’est le prix à payer
Tans pis pour le plaisir !
Lutter jusqu'à l’infini,
Sans se soucier, du futur ni du passé …
Tomber sous les balles d’un ennemi
Qui lui aussi n’avait rien demandé !
Ceux qui un jour déclare les guerres
Vivent dans l’insouciance !
Les soldats s’en remettent à dieu dans des prières
Au milieu de leurs souffrances !
Un dernier cri pour appeler leurs mères
Comme dans leur enfance !
Bientà´t on les recouvrira de terre
Sans aucune complaisance !
Lutter pour sa liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Mourir sans ne rien regretter,
C’est le destin vers l’oubli !
En première ligne, les volontaires au grand cÅ“ur
Sont les premiers !
Au village les enfants et les femmes pleurent
Ceux qui sont tombés !
Le capitaine dos au poteau garde son honneur
Ses yeux ne seront pas bandés !
Le ciel est bleu ce matin dans sa fraicheur
Un dernier cri pour la liberté !
Mourir pour la liberté,
Donner sa vie, comme on l’a apprit …
Partir sans ne rien laisser,
C’est le destin vers l’oubli !
Le ciel bleu sur la plaine un jour reviendra
Comme au premier jour !
De nouveau dans les villages, on dansera
La vie reprendra son cours !
Les enfants cueilleront des fleurs à tour de bras
Et les déposeront pas amour !
Là au bout du chemin o๠il y a une croix
O๠le capitaine dors pour toujours ….
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CaptainIKA
La liberté...on pourrait en parler des heures...
Ton titre den c'est vivre pour la Liberté. Mais bien souvent on meurt pour la liberté..
Très beau texte que tu as ecrit là
Ton titre den c'est vivre pour la Liberté. Mais bien souvent on meurt pour la liberté..
Très beau texte que tu as ecrit là
-
mawi48 - 512
Le village abandonné !
Il pleut et ça ne s’arrête pas de tomber,
Le petit village qui s’est endormi.
La grand histoire des hommes à oublié,
Qu’un jour ici, il y avait la vie !
Autrefois les gens se pressaient nombreux,
Sur la place de l’église et dans les cafés.
On y vendait volailles et robes bleues
Les jours de marché !
Dans l’école au coin de la grande rue,
Les enfants jouaient à la corde et à la marelle.
Des jeux dont on ne se souvient plus,
Maintenant, ce n’est plus pareil !
Mr Dupont, le boulanger et sa vitrine,
Les odeurs de pain qui sentaient si bon.
Un quatre heures de simples petites tartines,
Valaient bien mieux qu’un bonbon !
L’épicerie de là dame d’un grand à¢ge,
Les jeudis recevait la visite des polissons
Seulement ceux qui étaient polis et sages,
Du moins le croyait- on !
A la fin de L’été, pour la fin des moissons,
On y trouvait de drà´le de paroissiens.
Dans les tavernes ce n’était que rire et chanson,
A l’étonnement des touristes parisiens !
Le quinze septembre, jour de la rentrée,
Villageois et paysans faisaient la fête.
On y dansait que l’on soit maire ou curé,
L’automne était chouette !
L’hiver, le froid, la neige et le maudit vent,
N’empêchait pas la vie de continuer.
On s’entraidait quelque soit les gens,
Ce qui s’appelle la solidarité !
Peu à peu, les gens sont partis vivre en ville,
Pour plus de confort et de modernité.
Les chevaux ont laissé place à l’automobile,
Le village s’est déserté.
Et puis un jour à la sortie d’un nouvel hiver,
Un vingt mars, c’était un mardi.
Le pain si bon autrefois, est devenu amère
On a fermé la boulangerie !
Il ne reste plus grand choses du passé,
La grille du portail de l’école qui bat au vent.
Aujourd’hui Il pleut encore sur le village abandonné,
O๠j’étais enfant …
Il pleut et ça ne s’arrête pas de tomber,
Le petit village qui s’est endormi.
La grand histoire des hommes à oublié,
Qu’un jour ici, il y avait la vie !
Autrefois les gens se pressaient nombreux,
Sur la place de l’église et dans les cafés.
On y vendait volailles et robes bleues
Les jours de marché !
Dans l’école au coin de la grande rue,
Les enfants jouaient à la corde et à la marelle.
Des jeux dont on ne se souvient plus,
Maintenant, ce n’est plus pareil !
Mr Dupont, le boulanger et sa vitrine,
Les odeurs de pain qui sentaient si bon.
Un quatre heures de simples petites tartines,
Valaient bien mieux qu’un bonbon !
L’épicerie de là dame d’un grand à¢ge,
Les jeudis recevait la visite des polissons
Seulement ceux qui étaient polis et sages,
Du moins le croyait- on !
A la fin de L’été, pour la fin des moissons,
On y trouvait de drà´le de paroissiens.
Dans les tavernes ce n’était que rire et chanson,
A l’étonnement des touristes parisiens !
Le quinze septembre, jour de la rentrée,
Villageois et paysans faisaient la fête.
On y dansait que l’on soit maire ou curé,
L’automne était chouette !
L’hiver, le froid, la neige et le maudit vent,
N’empêchait pas la vie de continuer.
On s’entraidait quelque soit les gens,
Ce qui s’appelle la solidarité !
Peu à peu, les gens sont partis vivre en ville,
Pour plus de confort et de modernité.
Les chevaux ont laissé place à l’automobile,
Le village s’est déserté.
Et puis un jour à la sortie d’un nouvel hiver,
Un vingt mars, c’était un mardi.
Le pain si bon autrefois, est devenu amère
On a fermé la boulangerie !
Il ne reste plus grand choses du passé,
La grille du portail de l’école qui bat au vent.
Aujourd’hui Il pleut encore sur le village abandonné,
O๠j’étais enfant …
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CaptainIKA
Jolis souvenirs évoqués ...Tout se perd de nos jours mais tout reste dans nos mémoires
Den'
Den'
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Habibti47 - 3294
arff sauf que le petit village o๠j'ai passé mon enfance est celui o๠je vie actuellement,
lol 1800 habitants,
un super marché, deux écoles, une pharmacie, deux médecins, dentistes, kiné, ostéophate, médiatéque, boucherie, et plein de commerce ! dont trois boulangerie et seulement 3 cafés ! avant y en avait au moins 30
lol 1800 habitants,
un super marché, deux écoles, une pharmacie, deux médecins, dentistes, kiné, ostéophate, médiatéque, boucherie, et plein de commerce ! dont trois boulangerie et seulement 3 cafés ! avant y en avait au moins 30
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CaptainIKA
ben oui 3 cafés et quand on sait que y en a un qui n'est jamais ouvert et que je met pas les pieds dans le second m'en reste 1 seul
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CaptainIKA
Le dernier des capitaines
Ont a amarré solidement le bateau,
Vider les cales de ce qu’il contenait,
Le pavillon noir parti en flambeau,
L’équipage est descendu à quai !
à‡a sonne le vide dans les tonneaux,
Il ne reste qu’un bout de voile et de filet,
On a éteint les feux de Saint Malo,
Les héros sont disparus à tout jamais !
Quand tu aimes la terre, un jour tu prends la mer
Quand tu aimes la mer, un jour tu te perds !
Le goà»t du sel, un jour te donnes des ailes,
Et puis un jour, tu te poses pour toujours…
Il n’y aura plus jamais de grand capitaine !
Seule notre mémoire fait qu’on s’en souvienne,
CÅ“ur courage, frères de la cote Armoricaine !
Au passé à jamais maintenant ils appartiennent.
Sur ces falaises o๠j’ai marché si souvent,
Petite fille sèche tes larmes et oublie ta peine
Tes yeux sont trop beaux pour être abimés par le vent
C’est le destin qui un jour nous emmène !
Tu ne dois plus pleurer tu n’es plus une enfant,
T’as beau crier rien ne fera qu’il revienne,
Seul ton cœur peut le faire revivre comme avant
Le dernier des grands capitaines …
Quand tu aimes la terre, un jour tu prends la mer
Quand tu aimes la mer, un jour tu te perds !
Le goà»t du sel, un jour te donnes des ailes,
Et puis un jour, tu te poses pour toujours…
Il n’y aura plus jamais de grand capitaine !
Seule notre mémoire fait qu’on s’en souvienne,
CÅ“ur courage, frères de la cote Armoricaine !
Au passé à jamais maintenant ils appartiennent.
Je ne serais plus celui qu’on nommait le capitaine !
Petite fille sèche tes larmes et oublie ta peine
Tes yeux bleus ne doivent pas être abimés par le vent,
J’ai posé mon sac dans ton cÅ“ur d’enfant …
Ont a amarré solidement le bateau,
Vider les cales de ce qu’il contenait,
Le pavillon noir parti en flambeau,
L’équipage est descendu à quai !
à‡a sonne le vide dans les tonneaux,
Il ne reste qu’un bout de voile et de filet,
On a éteint les feux de Saint Malo,
Les héros sont disparus à tout jamais !
Quand tu aimes la terre, un jour tu prends la mer
Quand tu aimes la mer, un jour tu te perds !
Le goà»t du sel, un jour te donnes des ailes,
Et puis un jour, tu te poses pour toujours…
Il n’y aura plus jamais de grand capitaine !
Seule notre mémoire fait qu’on s’en souvienne,
CÅ“ur courage, frères de la cote Armoricaine !
Au passé à jamais maintenant ils appartiennent.
Sur ces falaises o๠j’ai marché si souvent,
Petite fille sèche tes larmes et oublie ta peine
Tes yeux sont trop beaux pour être abimés par le vent
C’est le destin qui un jour nous emmène !
Tu ne dois plus pleurer tu n’es plus une enfant,
T’as beau crier rien ne fera qu’il revienne,
Seul ton cœur peut le faire revivre comme avant
Le dernier des grands capitaines …
Quand tu aimes la terre, un jour tu prends la mer
Quand tu aimes la mer, un jour tu te perds !
Le goà»t du sel, un jour te donnes des ailes,
Et puis un jour, tu te poses pour toujours…
Il n’y aura plus jamais de grand capitaine !
Seule notre mémoire fait qu’on s’en souvienne,
CÅ“ur courage, frères de la cote Armoricaine !
Au passé à jamais maintenant ils appartiennent.
Je ne serais plus celui qu’on nommait le capitaine !
Petite fille sèche tes larmes et oublie ta peine
Tes yeux bleus ne doivent pas être abimés par le vent,
J’ai posé mon sac dans ton cÅ“ur d’enfant …
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CaptainIKA
Le soleil de la nuit
Tiens, voila le soleil qui pointe son nez !
Doucettement la lune s’est éclipsée,
Le jour s’est emparé de la place de la nuit,
Même Le petit vent à cessé,
Douceur d’un village endormi …
Je roulais sur cette route enrubannée,
Marquée par l’humidité de la nuit,
Reparti pour une autre journée,
Avec son lot de bonheur et de soucis …
Les champs au loin couvert de rosée,
Au loin l’horizon, tardait à sortir du lit
Le ciel bleu sera-t-il notre destinée,
O๠alors tombera encore la pluie …
J’étais là perdu dans mes pensées,
Me disant que ce n’est pas facile la vie
Je n’étais peut être pas réveillé
Dormant dans un grand infini …
Le jour enfin s’est mis à exister,
Un peu de bleu dans le ciel gris,
Une bataille pour mieux commander
Qui des deux aura la suprématie ….
C’est vrai il nous toujours lutter,
Se défendre contre d’hypothétiques ennemis,
C’est la guerre non déclarée,
Pour rien entre le non et le oui …
Mon cœur cessera t’il de t’aimer,
Un bonheur furtif noyé de mélancolie,
Derrière des pierres il s’est muré
Pour empêcher qu’on ne le détruis ..
A la fin de cette nouvelle journée,
Le jour cèdera sa place à la nuit,
Les étoiles se mettront à briller,
Et toi mon amour tu auras fuit …
Tiens, il fait froid, le soleil est reparti !
Tiens, voila le soleil qui pointe son nez !
Doucettement la lune s’est éclipsée,
Le jour s’est emparé de la place de la nuit,
Même Le petit vent à cessé,
Douceur d’un village endormi …
Je roulais sur cette route enrubannée,
Marquée par l’humidité de la nuit,
Reparti pour une autre journée,
Avec son lot de bonheur et de soucis …
Les champs au loin couvert de rosée,
Au loin l’horizon, tardait à sortir du lit
Le ciel bleu sera-t-il notre destinée,
O๠alors tombera encore la pluie …
J’étais là perdu dans mes pensées,
Me disant que ce n’est pas facile la vie
Je n’étais peut être pas réveillé
Dormant dans un grand infini …
Le jour enfin s’est mis à exister,
Un peu de bleu dans le ciel gris,
Une bataille pour mieux commander
Qui des deux aura la suprématie ….
C’est vrai il nous toujours lutter,
Se défendre contre d’hypothétiques ennemis,
C’est la guerre non déclarée,
Pour rien entre le non et le oui …
Mon cœur cessera t’il de t’aimer,
Un bonheur furtif noyé de mélancolie,
Derrière des pierres il s’est muré
Pour empêcher qu’on ne le détruis ..
A la fin de cette nouvelle journée,
Le jour cèdera sa place à la nuit,
Les étoiles se mettront à briller,
Et toi mon amour tu auras fuit …
Tiens, il fait froid, le soleil est reparti !
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CaptainIKA
la nuit, le jour
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
J’écoute les bruits, souvent étranges
D’un monde que personne ne dérange
Personne ne s’arrête sur des faux semblants
Même le cri de la chouette se fait marrant
La lune, me donne des ailes pour m’envoler
Et les étoiles se mettent, elles, à danser
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
L’odeur de l’asphalte se fait parfumée
Je traine dans des bars, pleins de fumée
Cachant mon cafard dans quelques verres
Tout me semble être mort sur cette terre
La lune devient rouge de sa colère
Et les étoiles de me voir se désespèrent
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
La ville sans lumière s’est endormie,
Il n’y a plus de poussière et plus de bruit,
Je ne sais plus très bien ce que je dois faire,
Peut être continué à toujours me taire,
La lune me surveille de son Å“il méchant
Et les étoiles se fà¢chent de mon comportement
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
Le froid s’empare de moi comme de nos vies
Je suis privé de toi, alors je traine toute la nuit,
A Ecouter le silence peut à peut tout envahir
Et mes larmes de tristesse ne plus les retenir
La lune en furie me tourne le dos définitivement
Et les étoiles font le grand saut vers le firmament
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
Je dors la nuit, je vie le jour,
A ta recherche toi mon amour …
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
J’écoute les bruits, souvent étranges
D’un monde que personne ne dérange
Personne ne s’arrête sur des faux semblants
Même le cri de la chouette se fait marrant
La lune, me donne des ailes pour m’envoler
Et les étoiles se mettent, elles, à danser
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
L’odeur de l’asphalte se fait parfumée
Je traine dans des bars, pleins de fumée
Cachant mon cafard dans quelques verres
Tout me semble être mort sur cette terre
La lune devient rouge de sa colère
Et les étoiles de me voir se désespèrent
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
La ville sans lumière s’est endormie,
Il n’y a plus de poussière et plus de bruit,
Je ne sais plus très bien ce que je dois faire,
Peut être continué à toujours me taire,
La lune me surveille de son Å“il méchant
Et les étoiles se fà¢chent de mon comportement
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
Le froid s’empare de moi comme de nos vies
Je suis privé de toi, alors je traine toute la nuit,
A Ecouter le silence peut à peut tout envahir
Et mes larmes de tristesse ne plus les retenir
La lune en furie me tourne le dos définitivement
Et les étoiles font le grand saut vers le firmament
Je dors le jour, je vie la nuit,
A la recherche de ma vie,
Je dors la nuit, je vie le jour,
A ta recherche toi mon amour …
-
CaptainIKA
C 'est trés beau Den (Je dors le jour, je vie la nuit) Tout comme moi !!!
j'adore ce poéme
j'adore ce poéme
-
Guen - 15053
jolie poème capitaine toujours a la recherche de l’âme perdu
plus de gaité dans tes pensées me ferais plus plaisir a regarder
te relire et tout de même un plaisir
plus de gaité dans tes pensées me ferais plus plaisir a regarder
te relire et tout de même un plaisir
-
bastien - 60
mon aller
Le ciel se fait maintenant plus gris,
Les blés ne sont pas encore fauchés,
L’avenir n’en sera que plus de soucis,
Pour les hommes devenus des affamés !
Qu’elle est donc devenue cette vie,
Où juste survivre est devenu si raide !
La solidarité a laissé place à l’oubli
Et l’indifférence à remplacé l’entraide,
Les indignés ont beau lancer des « s o s »
Le peuple d’en bas continue à se faire endoctriné
Politique et religion profitant de nos faiblesses
Même le travail s’est effacé devant le financier
Les gens ne sortent plus de chez eux !
Ils font même leurs courses sur ordinateurs
Ils ne savent même plus s’ils sont heureux
Comme aseptisés loin des dames de cœur
Les citoyens ont oubliés la grande révolution
Se rangeant du coté des nouveaux nantis
S’ils savaient que bien au chaud dans leurs salons
Ces nouveaux rois n’ont pour eux que du mépris
Est -il normal de privé des enfants d’éducation
Début d’un retour du symbole du bras tendu
Enfermer les partisans défenseurs de la nation
Avènement d’un nouveau petit caporal moustachu
Qu’est du devenu pays au grand destin
Plusieurs siècles ne t’ont pas suffit
Tu exclus de plus en plus du festin
Les pauvres et tous ceux qui t’on servi !
Ta jeunesse ne vit plus que par la télé-réalité
Même la musique s’en va aussi
Remplacée par le rap sorti des cités
Et la techno droguées des raves partie
On se demande ce que fait Dieu la haut
Il a du se planter un jour c’est ce qu’on dit en bas
Où Peut être à t’il simplement trop chaud
Parait que Lucifer fait bruler des feux de joie
Même le soleil lui aussi a fini par foutre le camp
Faut dire que nos attitudes il n’en peu plus
Il est parti avec une belle du bois chauffant
Le ciel bleu lui ne lui en a même pas voulu !
Les étoiles devenues sombres, s’ennuient
Elles ne brillent plus de leur bel éclat
Laissant toute la place du noir à la nuit
En ce moquant de ce qui se passe en bas
Triste monde qui est devenu se qu’il est
Mes combats resteront eux inachevés
Vivant, dans cette grande défaite à tout jamais
Il est temps pour moi, alors de m’en aller …
Il est temps pour moi, oh oui temps pour moi
D’hisser la grand voile de mon bateau
Il est temps pour moi, d’aller là-bas
De m’en aller sur l’océan, de naviguer sur les flots
Il est temps de m’en aller, de prendre la mer
D’affronter les vagues et le mauvais temps
Au milieu de nulle part, prendre l’air
A la recherche de toi, tous simplement !
Le ciel se fait maintenant plus gris,
Les blés ne sont pas encore fauchés,
L’avenir n’en sera que plus de soucis,
Pour les hommes devenus des affamés !
Qu’elle est donc devenue cette vie,
Où juste survivre est devenu si raide !
La solidarité a laissé place à l’oubli
Et l’indifférence à remplacé l’entraide,
Les indignés ont beau lancer des « s o s »
Le peuple d’en bas continue à se faire endoctriné
Politique et religion profitant de nos faiblesses
Même le travail s’est effacé devant le financier
Les gens ne sortent plus de chez eux !
Ils font même leurs courses sur ordinateurs
Ils ne savent même plus s’ils sont heureux
Comme aseptisés loin des dames de cœur
Les citoyens ont oubliés la grande révolution
Se rangeant du coté des nouveaux nantis
S’ils savaient que bien au chaud dans leurs salons
Ces nouveaux rois n’ont pour eux que du mépris
Est -il normal de privé des enfants d’éducation
Début d’un retour du symbole du bras tendu
Enfermer les partisans défenseurs de la nation
Avènement d’un nouveau petit caporal moustachu
Qu’est du devenu pays au grand destin
Plusieurs siècles ne t’ont pas suffit
Tu exclus de plus en plus du festin
Les pauvres et tous ceux qui t’on servi !
Ta jeunesse ne vit plus que par la télé-réalité
Même la musique s’en va aussi
Remplacée par le rap sorti des cités
Et la techno droguées des raves partie
On se demande ce que fait Dieu la haut
Il a du se planter un jour c’est ce qu’on dit en bas
Où Peut être à t’il simplement trop chaud
Parait que Lucifer fait bruler des feux de joie
Même le soleil lui aussi a fini par foutre le camp
Faut dire que nos attitudes il n’en peu plus
Il est parti avec une belle du bois chauffant
Le ciel bleu lui ne lui en a même pas voulu !
Les étoiles devenues sombres, s’ennuient
Elles ne brillent plus de leur bel éclat
Laissant toute la place du noir à la nuit
En ce moquant de ce qui se passe en bas
Triste monde qui est devenu se qu’il est
Mes combats resteront eux inachevés
Vivant, dans cette grande défaite à tout jamais
Il est temps pour moi, alors de m’en aller …
Il est temps pour moi, oh oui temps pour moi
D’hisser la grand voile de mon bateau
Il est temps pour moi, d’aller là-bas
De m’en aller sur l’océan, de naviguer sur les flots
Il est temps de m’en aller, de prendre la mer
D’affronter les vagues et le mauvais temps
Au milieu de nulle part, prendre l’air
A la recherche de toi, tous simplement !
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CaptainIKA
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