Pas grand chose ... juste de moi et de vous
mes poésies, mes musiques ... un peu de moi
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020 Les ombres de la nuit
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour la désillusion
En te regardant quand tu te laves ou en te rasant le matin
Tu te trouves beau, parfait sans défauts, sur, t’es un mec bien
Faut dire que pour ta défense, c’est toi leur bon chef adoré
Celui a qui on croit, et en qui on une confiance aveuglée,
C’est sur ton pied de stal qu’un jour ton clan ta installé
Mais pas pour ton intelligence, mais parce que t’avais les clés
Si nous regardons du plus prêt, à vrai dire t’es un petit roi
Un chef, un président, un nabab, le mieux qui existe, c’est toi
Tout est prévu dans ton entourage, pour que toujours ça aille
Une cours adulatrice, un grand argentier, quelques canailles
Toujours prêt a donner des coups pour faire la foule se prosterné
Devant toi ou ta suite, le petit peuple a intérêt à la fermer
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour la désillusion.
Ton système est si bien fait que tu penses que rien ne peut t’arriver
Une petite usine a gaz, différents étages, des groupes que tu as crée,
De temps en temps, tu réunis des disciples autour d’un bon repas
Pour leur dire qu’ils sont les meilleurs et de marcher d’un seul pas
Tu leur donnes aussi de l’importance et de belles responsabilités
Histoire pour toi de te donner bonne conscience et aussi d’oublier
Que pour arriver ou tu es parvenu, tu n’as pas hésité à éliminer
Directement ou par tes sbires, les gens qui pouvaient te gêner
Tel le gourou d’une communauté ou d’une secte, si tu t’inquiète
Pour ton argentier paru de bijoux, qui récolte les deniers de la quête
Mais derrière toi, ton guetteur et tes espions ne voient rien venir
Car la foule qui grossit peu à peu, pourraient vouloir un jour te nuire …
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta désillusion.
Alors toi le président, petit chef et petit roi tu crois avoir tout prévu
Après l’augmentation des impôts, collectés qui son pour toi un du
Tu te dis que pour calmer un peu la foule, mais que peut- il arriver
Tu te creuse la tête avec tes consorts et enfin tu crois avoir l’idée
Tu leur organise des fêtes, des tournois, enfin une grande réunion
Pour qu’ensemble ils se croient unis et devant toi, une procession
Tes gardes du corps sont bien la, pour te protéger, pour te sauver
Mais bien avant tu leur as demandé, de ne pas faire preuve de pitié
De liquider tout les mécréants qui pourraient venir sans y être invité
Mais peu à peu, les survivants, les bannis, les exclus se regroupent
Ici et la, ça bouge, un nouveau clan se forme, on arme les troupes
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta désillusions.
Toi le chef, le président, roi du système, il te faut trembler maintenant
Car devant toi, la foule devient hostile et montre enfin toutes ses dents
Ta cour s’enfuit en courant, sauve qui peu, par dessus bord les rats
Bientôt sur ton pied de stal, au milieu de l’arène, il ne restera plus que toi
La partie sera finie, ta dernière carte tombée, il ne restera enfin qu’à prier
Que ce petit peuple dont tu t’es souvent moqué, puisse aussi t’épargner
Alors tu comprendras ce que c’est d’être seul et tu rejoindras en silence
Les ombres de la nuit qui observent sans mot dire avec impatience
Qui sont la en la mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toi l’ex star, l’ex idole, n’oublie jamais que ton règne s’achève à présent
Qu’il te faut rester humble, vivre tout seul maintenant et rester sans cesse
Sur tes gardes, te méfiant de la foule et être la proie d’un nouveau petit chef
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta grande désillusion.
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour la désillusion
En te regardant quand tu te laves ou en te rasant le matin
Tu te trouves beau, parfait sans défauts, sur, t’es un mec bien
Faut dire que pour ta défense, c’est toi leur bon chef adoré
Celui a qui on croit, et en qui on une confiance aveuglée,
C’est sur ton pied de stal qu’un jour ton clan ta installé
Mais pas pour ton intelligence, mais parce que t’avais les clés
Si nous regardons du plus prêt, à vrai dire t’es un petit roi
Un chef, un président, un nabab, le mieux qui existe, c’est toi
Tout est prévu dans ton entourage, pour que toujours ça aille
Une cours adulatrice, un grand argentier, quelques canailles
Toujours prêt a donner des coups pour faire la foule se prosterné
Devant toi ou ta suite, le petit peuple a intérêt à la fermer
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour la désillusion.
Ton système est si bien fait que tu penses que rien ne peut t’arriver
Une petite usine a gaz, différents étages, des groupes que tu as crée,
De temps en temps, tu réunis des disciples autour d’un bon repas
Pour leur dire qu’ils sont les meilleurs et de marcher d’un seul pas
Tu leur donnes aussi de l’importance et de belles responsabilités
Histoire pour toi de te donner bonne conscience et aussi d’oublier
Que pour arriver ou tu es parvenu, tu n’as pas hésité à éliminer
Directement ou par tes sbires, les gens qui pouvaient te gêner
Tel le gourou d’une communauté ou d’une secte, si tu t’inquiète
Pour ton argentier paru de bijoux, qui récolte les deniers de la quête
Mais derrière toi, ton guetteur et tes espions ne voient rien venir
Car la foule qui grossit peu à peu, pourraient vouloir un jour te nuire …
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta désillusion.
Alors toi le président, petit chef et petit roi tu crois avoir tout prévu
Après l’augmentation des impôts, collectés qui son pour toi un du
Tu te dis que pour calmer un peu la foule, mais que peut- il arriver
Tu te creuse la tête avec tes consorts et enfin tu crois avoir l’idée
Tu leur organise des fêtes, des tournois, enfin une grande réunion
Pour qu’ensemble ils se croient unis et devant toi, une procession
Tes gardes du corps sont bien la, pour te protéger, pour te sauver
Mais bien avant tu leur as demandé, de ne pas faire preuve de pitié
De liquider tout les mécréants qui pourraient venir sans y être invité
Mais peu à peu, les survivants, les bannis, les exclus se regroupent
Ici et la, ça bouge, un nouveau clan se forme, on arme les troupes
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta désillusions.
Toi le chef, le président, roi du système, il te faut trembler maintenant
Car devant toi, la foule devient hostile et montre enfin toutes ses dents
Ta cour s’enfuit en courant, sauve qui peu, par dessus bord les rats
Bientôt sur ton pied de stal, au milieu de l’arène, il ne restera plus que toi
La partie sera finie, ta dernière carte tombée, il ne restera enfin qu’à prier
Que ce petit peuple dont tu t’es souvent moqué, puisse aussi t’épargner
Alors tu comprendras ce que c’est d’être seul et tu rejoindras en silence
Les ombres de la nuit qui observent sans mot dire avec impatience
Qui sont la en la mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toi l’ex star, l’ex idole, n’oublie jamais que ton règne s’achève à présent
Qu’il te faut rester humble, vivre tout seul maintenant et rester sans cesse
Sur tes gardes, te méfiant de la foule et être la proie d’un nouveau petit chef
La dans le noir de la nuit, des ombres observent tranquillement
Elles sont la en mémoire, des femmes et des hommes punis injustement
Toujours sans rien dire, elles attendent avec beaucoup d’attention
Sur leur visage, un sourire, c’est sur elles sont la pour ta grande désillusion.
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CaptainIKA - Administrateur
- 390
023 Les saisons
A l ‘aube d’un dimanche matin,
En bordure d’un petit chemin,
On voit la silhouette des hommes,
Nous sommes déjà en automne !
La brume s’envole, il est neuf heures,
C’est un groupe de frêles chasseurs.
La dernière récolte de mais est rentrée,
Les jours sont de plus en plus pressés.
La forêt, elle, regorge de champignons,
Les animaux font leurs provisions.
Près du ruisseau sous le châtaigner,
Des enfants sont très occupés.
Ramassant sans trop se piquer,
Les belles châtaignes tombées.
Un de ces soirs autour du feu,
Ils seront sûrement nombreux,
Afin de se régaler et de déguster,
Celles que le pépé aura grillées.
Le soleil, mon vieux complice,
Se joue du temps avec malice.
Il fait sa coure a dame l’hiver,
Et les jours perdent leur lumière.
Mais voici venir la fin de l’année,
L’hiver est fier et bien nommée.
Et tout le monde semble attendre,
Les jours fériés de fin décembre.
Les familles vont enfin se réunir,
Le père noël sans doute va venir.
De grands repas et des festivités,
Et les enfants les yeux émerveillés,
Devant les présents et les cadeaux,
Oh mon dieu, y il a rien de plus beau !
Le trente et un ce sera le réveillon,
Champagne, paillettes et cotillons,
Et sur les douze coups de minuit,
On échangera des vœux à l’infini.
Ça y est la voici la nouvelle année,
Ou on espère que ça va changer.
Un nouvel an, beaucoup d’ambition,
Mais aussi de grandes désillusions !
Les hommes de neige se dressent,
Et lui, il les fait fondre avec diablesse,
Le soleil mon éternel vieux complice,
Se joue des enfants avec trop de malice.
Sur la route, la pluie et le verglas,
Nous accompagne quelques fois,
Il arrive même d’aller au fossé,
Sur ces plaques on peut déraper.
Arrivé à la fête de la chandeleur,
Les jours on gagné deux heures.
Dans les maisons de ma belle région,
Les enfants regardent avec passion,
Tourner toutes les crêpes de froment,
Que prépare affectueusement leur maman.
A la mi-mars, c’est le premier rendez vous,
Le printemps nouveau se présente enfin à nous.
Près du ruisseau renaissent les primevères,
C’est petite fleur jaune que je préfère,
Et qui me rappel que quand j’étais enfant,
J’allais en cueillir pour ma petite maman.
Quelques giboulées de grêle en avril,
Le soleil ce fainéant est bien si fébrile.
Dame hiver tire enfin sa révérence,
En lui offrant sa toute dernière danse.
On connaît alors les premières chaleurs,
Les enfants heureux chantent en cœur.
Les beaux jours, eux sont enfin arrivés,
Des premiers amours d’écolier sont nés,
Des chagrins eux viendrons plus tard,
Quand fin juin on rentre le tableau noir !
Le soleil ce vieux fidèle complice,
Nous chauffe le cuir avec délice,
Et plus rien ne semble arrêter,
La course folle de la saison reine, l’été.
Les grandes vacances enfin arrivent,
Avec elle, la légèreté, et tant de sourires.
De jeunes couples avec joie vont profiter,
De cette chaude période pour se marier.
Dans les villages et leurs petites églises,
Leur bonheur partagé sera de mise.
Il y aura aussi inévitablement des drames,
Les amours de vacance finissent souvent en larme !
Puis viendra trop vite la fin des moisons,
Les enfants en feront une chanson
Le soleil ce satané vieux complice,
Jouera sa partition avec plus de vice.
Il se moquera impunément des gens,
Qui finiront par le détester sur le moment.
Vexé, il sans ira sur la pointe des pieds,
Signifiant pour tous la fin de la récré.
Et tôt ressortirons, de vert vêtus, les hommes,
Signifiant avec tristesse le retour de l’automne.
A l ‘aube d’un dimanche matin,
En bordure d’un petit chemin,
On voit la silhouette des hommes,
Nous sommes déjà en automne !
La brume s’envole, il est neuf heures,
C’est un groupe de frêles chasseurs.
La dernière récolte de mais est rentrée,
Les jours sont de plus en plus pressés.
La forêt, elle, regorge de champignons,
Les animaux font leurs provisions.
Près du ruisseau sous le châtaigner,
Des enfants sont très occupés.
Ramassant sans trop se piquer,
Les belles châtaignes tombées.
Un de ces soirs autour du feu,
Ils seront sûrement nombreux,
Afin de se régaler et de déguster,
Celles que le pépé aura grillées.
Le soleil, mon vieux complice,
Se joue du temps avec malice.
Il fait sa coure a dame l’hiver,
Et les jours perdent leur lumière.
Mais voici venir la fin de l’année,
L’hiver est fier et bien nommée.
Et tout le monde semble attendre,
Les jours fériés de fin décembre.
Les familles vont enfin se réunir,
Le père noël sans doute va venir.
De grands repas et des festivités,
Et les enfants les yeux émerveillés,
Devant les présents et les cadeaux,
Oh mon dieu, y il a rien de plus beau !
Le trente et un ce sera le réveillon,
Champagne, paillettes et cotillons,
Et sur les douze coups de minuit,
On échangera des vœux à l’infini.
Ça y est la voici la nouvelle année,
Ou on espère que ça va changer.
Un nouvel an, beaucoup d’ambition,
Mais aussi de grandes désillusions !
Les hommes de neige se dressent,
Et lui, il les fait fondre avec diablesse,
Le soleil mon éternel vieux complice,
Se joue des enfants avec trop de malice.
Sur la route, la pluie et le verglas,
Nous accompagne quelques fois,
Il arrive même d’aller au fossé,
Sur ces plaques on peut déraper.
Arrivé à la fête de la chandeleur,
Les jours on gagné deux heures.
Dans les maisons de ma belle région,
Les enfants regardent avec passion,
Tourner toutes les crêpes de froment,
Que prépare affectueusement leur maman.
A la mi-mars, c’est le premier rendez vous,
Le printemps nouveau se présente enfin à nous.
Près du ruisseau renaissent les primevères,
C’est petite fleur jaune que je préfère,
Et qui me rappel que quand j’étais enfant,
J’allais en cueillir pour ma petite maman.
Quelques giboulées de grêle en avril,
Le soleil ce fainéant est bien si fébrile.
Dame hiver tire enfin sa révérence,
En lui offrant sa toute dernière danse.
On connaît alors les premières chaleurs,
Les enfants heureux chantent en cœur.
Les beaux jours, eux sont enfin arrivés,
Des premiers amours d’écolier sont nés,
Des chagrins eux viendrons plus tard,
Quand fin juin on rentre le tableau noir !
Le soleil ce vieux fidèle complice,
Nous chauffe le cuir avec délice,
Et plus rien ne semble arrêter,
La course folle de la saison reine, l’été.
Les grandes vacances enfin arrivent,
Avec elle, la légèreté, et tant de sourires.
De jeunes couples avec joie vont profiter,
De cette chaude période pour se marier.
Dans les villages et leurs petites églises,
Leur bonheur partagé sera de mise.
Il y aura aussi inévitablement des drames,
Les amours de vacance finissent souvent en larme !
Puis viendra trop vite la fin des moisons,
Les enfants en feront une chanson
Le soleil ce satané vieux complice,
Jouera sa partition avec plus de vice.
Il se moquera impunément des gens,
Qui finiront par le détester sur le moment.
Vexé, il sans ira sur la pointe des pieds,
Signifiant pour tous la fin de la récré.
Et tôt ressortirons, de vert vêtus, les hommes,
Signifiant avec tristesse le retour de l’automne.
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CaptainIKA - Administrateur
- 390
j'ai toujours eu une préférence pour les poètes va savoir pourquoi !! j'ai un chouchou de poète un monsieur 85 ans et il sait que je le lis toujours lol ; je ne peux vous mettre ses poèmes , je reçois toujours l'exclusivité de son nouveau poème , les poètes ont sent leur état d'âme ils ont tout simplement du cœur !! j'ai essayée fut un temps de faire des poèmes ; mais je n'étais pas très douée sache que je lis tout tes poèmes bravo
pour l'info je suis née le jour de la chandeleur comme une fleur même pas peur
pour l'info je suis née le jour de la chandeleur comme une fleur même pas peur
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miss sissi - 425
047 Le temps
Le temps qui passe,
Est-il un temps perdu ?
Sans me voiler la face,
Je ne sais plus.
Le temps devenu passé,
Est t’il un gain ?
Car ce temps déjà gagné,
T’emmène vers demain.
Le temps devenu passé,
Nous laisse des souvenirs.
Et si c’est du temps de gagné,
Pourquoi tant de soupir ?
Le temps déjà perdu,
Ne nous laisse rien,
Sauf des projets disparus,
Dont on ne se souvient !
Ce temps qui passe,
Est devenu trop lourd,
Et je reste sur place,
Perdu sans son amour.
Revenir dans le passé,
Corriger les erreurs,
Voir ce qui n’a pas marché,
Reconstruire le bonheur.
Le temps qui est passé,
Est un temps de perdu ?
Même si je ne peu oublier,
Ce qui est aujourd’hui disparu.
Le temps passé n’est pas un gain,
Car je ne sais plus sourire.
Je n’ai rien gagné c’est certain,
J’ai trop mal de nos souvenirs …
précision la plus part de ces écrits datent
depuis j ai retrouvé ce que j'avais perdu.
Le temps qui passe,
Est-il un temps perdu ?
Sans me voiler la face,
Je ne sais plus.
Le temps devenu passé,
Est t’il un gain ?
Car ce temps déjà gagné,
T’emmène vers demain.
Le temps devenu passé,
Nous laisse des souvenirs.
Et si c’est du temps de gagné,
Pourquoi tant de soupir ?
Le temps déjà perdu,
Ne nous laisse rien,
Sauf des projets disparus,
Dont on ne se souvient !
Ce temps qui passe,
Est devenu trop lourd,
Et je reste sur place,
Perdu sans son amour.
Revenir dans le passé,
Corriger les erreurs,
Voir ce qui n’a pas marché,
Reconstruire le bonheur.
Le temps qui est passé,
Est un temps de perdu ?
Même si je ne peu oublier,
Ce qui est aujourd’hui disparu.
Le temps passé n’est pas un gain,
Car je ne sais plus sourire.
Je n’ai rien gagné c’est certain,
J’ai trop mal de nos souvenirs …
précision la plus part de ces écrits datent
depuis j ai retrouvé ce que j'avais perdu.
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CaptainIKA - Administrateur
- 390
quand on va mal , il y a toujours une urgence à écrire , mais même si çà va beaucoup mieux , tu te sépareras jamais de tes poèmes , ces poèmes ont servis à accepter ta vie , écrire puis pleurer c'est le poète , bisous mon ouf
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miss sissi - 425
215 Dans ton cœur il y a de caché
Pour toi petite Romane, un jour ce qui est caché dans ton cœur, ne le sera plus et ce jour là tu sauras que demain t’appartiens.
Dans ton cœur il y a de caché
Tes souvenirs que tu ne peux partager
Un monde qui n’appartient qu’as toi
Qui te fait pleurer quelques fois
Tes choses à toi petite Romane
Tes secrets personne ne les profane
Ne soit pas inquiète petite Romane
Dans ton cœur il y a de caché
Les raisons qui te font te protéger
Des coups tu en as pris trop souvent
Comme les feuilles s’envolent dans le vent
Tu es forte petite Romane
Malgré les blessures de ton âme
Tu reste forte petite Romane
Dans ta tête il y a des projets
Dont tu ne nous parles jamais
Que tu gardes si précieusement
Comme tu protèges ton plus beau diamant
Que personne ne te voleras
Ça au moins tu peux être sur de ça
Petite Romane croix moi
Dans ton cœur il y a de caché
Des rêves qui un jour seront réalité
Il te suffit encore un peu d’y croire
Comme tu me dis de garder l’espoir
Tes choses à toi petite Romane
Jamais je ne juge ni ne condamne
J’ai besoin de toi moi, banane
Pour toi petite Romane, un jour ce qui est caché dans ton cœur, ne le sera plus et ce jour là tu sauras que demain t’appartiens.
Dans ton cœur il y a de caché
Tes souvenirs que tu ne peux partager
Un monde qui n’appartient qu’as toi
Qui te fait pleurer quelques fois
Tes choses à toi petite Romane
Tes secrets personne ne les profane
Ne soit pas inquiète petite Romane
Dans ton cœur il y a de caché
Les raisons qui te font te protéger
Des coups tu en as pris trop souvent
Comme les feuilles s’envolent dans le vent
Tu es forte petite Romane
Malgré les blessures de ton âme
Tu reste forte petite Romane
Dans ta tête il y a des projets
Dont tu ne nous parles jamais
Que tu gardes si précieusement
Comme tu protèges ton plus beau diamant
Que personne ne te voleras
Ça au moins tu peux être sur de ça
Petite Romane croix moi
Dans ton cœur il y a de caché
Des rêves qui un jour seront réalité
Il te suffit encore un peu d’y croire
Comme tu me dis de garder l’espoir
Tes choses à toi petite Romane
Jamais je ne juge ni ne condamne
J’ai besoin de toi moi, banane
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CaptainIKA - Administrateur
- 390
038 seuls les cœurs savent aimer
On peut s’aimer,
Et puis se détester,
On peut se projeter dans l’avenir,
Et d’un revers de main tout démolir,
On peut se désirer,
Et puis se déchirer !
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut un jour croire,
Et puis s’en vouloir,
On peut un jour pour un rien se faire rire,
Et le lendemain n’avoir plus rien à se dire,
On peut se dire que ça durera,
Et puis être méchant comme ça,
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut être tendre,
Et puis ne plus se comprendre,
On peut même se faire de belles promesses
Et se lancer méchamment des mots qui blessent
On peut trembler pour son amour,
Et se souhaiter des mauvais jours.
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut croire aux jours futurs
Et puis s’en mettre plein la figure
On peut être se jeter des fleures
Et se déchirer dans des pleures
On même se dire un jour je t’aime,
Et sans mots dire quitter la scène.
Mais seuls les cœurs savent vraiment
Où est la vérité, et qui fait semblant.
Seuls les cœurs qui ont aimés, gardent pour eux
Le goût et le bonheur des jours heureux.
Seuls ces cœurs la, savent vraiment
Où en sont restés les vrais sentiments.
On peut s’aimer,
Et puis se détester,
On peut se projeter dans l’avenir,
Et d’un revers de main tout démolir,
On peut se désirer,
Et puis se déchirer !
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut un jour croire,
Et puis s’en vouloir,
On peut un jour pour un rien se faire rire,
Et le lendemain n’avoir plus rien à se dire,
On peut se dire que ça durera,
Et puis être méchant comme ça,
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut être tendre,
Et puis ne plus se comprendre,
On peut même se faire de belles promesses
Et se lancer méchamment des mots qui blessent
On peut trembler pour son amour,
Et se souhaiter des mauvais jours.
Mais seuls les cœurs savent vraiment,
Où est la vérité et ce qui est important.
Seuls les cœurs gardent au fond d’eux,
Le goût et le bonheur des jours heureux.
On peut croire aux jours futurs
Et puis s’en mettre plein la figure
On peut être se jeter des fleures
Et se déchirer dans des pleures
On même se dire un jour je t’aime,
Et sans mots dire quitter la scène.
Mais seuls les cœurs savent vraiment
Où est la vérité, et qui fait semblant.
Seuls les cœurs qui ont aimés, gardent pour eux
Le goût et le bonheur des jours heureux.
Seuls ces cœurs la, savent vraiment
Où en sont restés les vrais sentiments.
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CaptainIKA - Administrateur
- 390
Bonjour capitaine
que c est beau et romantique
je ne t ai jamais associer a un telle romantisme
de la part d un marin cela me laisse sans voie
très très beau ça me remplie de joie et de bonheurs car de nos jours
un homme qui parle ainsi se fut rare a trouver
au plaisir de te lire a nouveau
que c est beau et romantique
je ne t ai jamais associer a un telle romantisme
de la part d un marin cela me laisse sans voie
très très beau ça me remplie de joie et de bonheurs car de nos jours
un homme qui parle ainsi se fut rare a trouver
au plaisir de te lire a nouveau
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bibich - 473
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